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Jean-Jacques sort de prison après avoir tiré neuf ans pour braquage. De retour dans sa cité, il envisage de se consacrer à l’illustration. mais l’appel de la rue est plus fort. manifestement influencé par L’impasse, de Brian De Palma, "Sous X" dépeint avec réalisme l’univers du deal mais il peine à convaincre tant son protagoniste est dénué de conflits internes. Libéré, il reprend sans sourciller le business, et ce n’est pas la très fugace scène où on le voit dessiner qui suffit à rendre tangible son dilemme entre récidive et réhabilitation.
Toutes les critiques de Sous X
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Ce "Sous X" est tout sauf à l’abandon. Les «scènes à faire» au pied des tours sonnent juste, et le parcours malfrat de cette grande baraque forte en gueule est original dans un univers plombé à tous égards.
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Les scènes d'action, maladroites, affaiblissent, hélas, le charme de ce petit film sympa.
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Au final, avec ses dialogues de "gros", son accent kaira, et ses problématiques de téci, "Sous X" n’est pas forcément l’oeuvre la plus facile à appréhender, c’est même un premier film par moment trop impulsif et souvent gauche dans l’exploitation de ses thématiques.