Paris has Fallen
Canal +

Tewfik Jallab nous raconte le tournage mouvementé de la série Canal +, qui lui a valu quelques bobos...

C'est une série d'action qui appuie là où ça fait mal ! Paris has Fallen dégaine à un rythme d'enfer son intrigue terroriste dans la capitale française. Et pour suivre, Tewfik Jallab a dû afficher une forme optimale digne d'un Tom Cruise.

L'acteur nous avoue faire "naturellement beaucoup de sport et des arts martiaux dans ma vie quotidienne. Et puis j'avais déjà eu l'occasion de me familiariser avec les chorégraphies de combat et le maniement des armes pendant Cœurs Noirs ou Pax Massilia."

Paris has Fallen
Canal +

Mais pour Paris has Fallen, il a poussé le curseur un peu plus loin : "J'ai fait toutes les cascades moi-même, sans doublure" confie Tewfik Jallab à Première. "C'est extraordinaire à vivre." Il raconte ensuite avoir "beaucoup travaillé" pour préparer en amont les nombreuses séquences d'action de la série. Et avoir aussi accepté de se faire mal :

"Il y a eu beaucoup de blessures à l'arrivée (rires). Je me suis fait quelques entorses, je me suis ouvert un tibia, déplacé la clavicule, cassé une dent... Des petites choses sympa (rires). C'est un pari quand on fait tout tout seul. On sait qu'on va se faire quelques bobos, alors quand on accepte de faire ses cascades, il faut assumer !"

Paris has Fallen
Studio Canal

Heureusement, Tewfik Jallab était particulièrement bien entouré puisque Jason Oettle, l'un des pontes de l'action à Hollywood, a supervisé les cascades de Paris has Fallen : "J'avais un superviseur des cascades très expérimenté pour m'accompagner. Jason a bossé sur The Batman, Inception ou James Bond. Donc autant dire que je me sentais entre de bonnes mains."

Le résultat est spectaculaire et a enchanté les abonnés de Canal +, puisque Paris has Fallen s'offre le 3e meilleur démarrage historique en visionnages sur MyCanal pour une création originale. L'épisode 3 sera diffusé ce lundi 30 septembre. Mais attention, il n'y a plus qu'un seul épisode par semaine, désormais, le lundi soir...