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L’ancien présentateur du Juste Prix Philippe Risoli, qui anime depuis 2009 la nouvelle version de L’école des fans sur Gulli, était au micro d’MFM Radio. Il est revenu sur les circonstances de son départ de TF1.

L’ancien présentateur du Juste Prix Philippe Risoli, qui anime depuis 2009 la nouvelle version de L’école des fans sur Gulli, était au micro d’MFM Radio. Il est revenu sur les circonstances de son départ de TF1. Philippe Risoli anime depuis 2009 la nouvelle version de L’école des fans sur Gulli. Mais il a surtout présenté le Juste Prix pendant neuf ans sur TF1, de 1992 à 2001, avant que le jeu télévisé ne soit remis au goût du jour par Vincent Lagaf' en 2009. Au micro de Laurent Artufel, Philippe Risoli s’est expliqué quant aux circonstances de son départ."Le Juste Prix, je souhaitais l'arrêter. J'estimais que je l'avais déjà animé pendant neuf ans, je l'avais pris dans des circonstances un petit peu particulières, liées à la maladie puis au décès de Patrick Roy", commente Philippe Risoli. "J'avais passé un certain nombre d'accords avec Etienne Mougeotte qu'il n'a pas respectés : je devais présenter d'autres émissions", lance-t-il à l’ancien vice-président de TF1.Quel était le contexte à cette époque ? "On est à la fin 2001, c'est l'arrivée de la télé-réalité, c'est l'arrivée d'une nouvelle vague d'animateurs, dont Nikos Aliagas…" Philippe Risoli était-il alors dépassé ? "Ce n’est pas en ces termes que la question se pose. Je n’ai pas été viré à ce moment là, j’ai décidé moi-même de ne plus présenter ce concept", se défend celui-ci, avant de révéler : "Il y a eu des castings qui ont été fait pour savoir oui ou non si le jeu allait perdurer après mon départ. Bon, ils n ont pas souhaité que çà sa passe comme çà."Enfin, Philippe Risoli part sur un autre registre : "Il s’est trouvé aussi qu’un petit peu avant j’avais commencé à écrie des chansons je me suis dit finalement Je vais profiter de cet espace pour sortir des albums." En effet, nos oreilles se souviennent encore de son tube Cuitas les bananas, dont l’auteur déplore que ce ne soit pas le reflet de ce que lui avait écrit quant il l’a proposé à la maison de disques Polydor, qui l’a " un peu" détourné selon lui.