D’après nos confrères de TV Mag, Françoise Laborde serait une nouvelle fois dans le viseur du président du CSA. L’ex journaliste, qui est une Sage depuis 2009 aurait en effet quitté précipitamment une réunion importante prétextant une quinte de toux pour donner une interview pour l'émission Le Grand Direct des médias sur Europe 1.
D’après nos confrères de TV Mag, Françoise Laborde serait une nouvelle fois dans le viseur du président du CSA. L’ex journaliste, qui est une Sage depuis 2009 aurait en effet quitté précipitamment une réunion importante prétextant une quinte de toux pour donner une interview pour l'émission Le Grand Direct des médias sur Europe 1.Françoise Laborde ne semble plus être en odeur de sainteté au CSA. Nos confrères de TV Mag affirment en effet que le comportement de l’ex-journaliste commencerait à sérieusement agacer Michel Boyon, le président du CSA et les autres membres. Dernier exemple en date : le 14 octobre 2011.En pleine réunion au CSA pour régler un conflit entre France 5 et Paris Première, Françoise Laborde aurait prétexté une quinte de toux pour s’éclipser. François Laborde aurait en fait quitté son siège pour répondre aux questions de l’émission Le Grand Direct des Médias sur Europe 1. Elle y a en effet présenté son dernier livre contre le machisme Ne vous taisez plus. Cerise sur le gâteau, elle se serait exprimée sur l’affaire DSK et le classement sans suite de la plainte de Tristane Banon. Or, tous les membres du CSA sont soumis à un devoir de réserve.L’entretien téléphonique de Françoise Laborde avec Europe 1 serait donc resté en travers de la gorge du CSA. Suite à l’absence de l’ancienne journaliste, officiellement pour raisons de santé, officieusement pour promouvoir son livre, Michel Boyon aurait été obligé de suspendre la séance durant 30 minutes.C’est le deuxième gros faux pas de Françoise Laborde. En juillet dernier, elle aurait déjà subi les foudres du président du CSA suite à ses absences répétées. S’étant cassée l’épaule, elle avait informé début juin le CSA que son médecin l’interdisait de bouger jusqu’en juillet. Elle était pourtant apparue en pleine forme à plusieurs évènements viticoles. La nomination d’un Sage étant irrévocable, le CSA, s’il souhaite prendre des sanctions, ne pourrait donc que lui adresser un avertissement et affaiblir ses responsabilités au sein du conseil.
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