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Un chef reconnu ayant gaspillé son talent et découragé ses amis par ses colères et ses addictions remonte, à Londres, un restaurant et une équipe. Entre récit d’une rédemption et ode à la grande cuisine, le film se perd et n’approfondit pas le propos. Sympathique mais paresseux et peu rythmé, il offre toutefois à Bradley Cooper un personnage efficace et taillé sur mesure.
Toutes les critiques de A vif !
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Ce n'est pas génial, mais il capte une chose que peu de films sur la cuisine arrivent à faire : la réalité.
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Une comédie moyennement divertissante mais bien interprétée, avec une somptueuse photographie et un scénario malin. Une comédie avec des sous-entendus sur la dépendance à la gastronomie que l'on peut juste qualifier de "délicieux".
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Si la dernière scène sur la rédemption est un peu prévisible, le chemin jusqu'à ce moment constitue un point de vue palpitant grâce à des querelles en cuisine, de la violence et tout le reste.
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A Vif ! parle peut-être de haute gastronomie, mais le film n'est que de la restauration rapide jusqu'au bout.
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Doté d'un casting aussi étoilé que les chefs Michelin qu'il met en scène, cette comédie sans prétention plaira aux fans des émissions culinaires de type Top Chef et Masterchef. Les autres en seront peut-être moins friands... à moins que les charmes de Bradley Cooper l'emportent sur toute autre considération !
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Le vrai problème, c'est que tout ce qui tourne autour du parcours d'Adam a l'air à moitié digéré puis recraché. On l'a déjà vu avant. Et c'était mieux fait la première fois.
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De l’amuse bouche aux mignardises, le menu d’A vif est aussi classique et prévisible qu’un déjeuner chez mamie. (...) Pas de quoi exciter nos papilles mais pas écoeurant non plus.
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Pour un film sur un perfectionniste qui a eu une enfance difficile et qui cherche à avoir trois étoiles, permettez-moi de vous recommander For Grace, un documentaire consacré à Curtis Duffy, le chef de Chicago.
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Pour un métrage sur la grande cuisine, il est assez peu appétissant. Il faut dire que le seul cliché qui nous est épargné aurait été le plus utile : l’élaboration d’un plat qui a par le passé a fait la gloire du chef en chute libre.
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(...) les ingrédients, platement préparés, manquent de saveur. Ce soir, faites-vous un dîner plutôt qu'un ciné.
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Y a-t-il quelque chose de plus insupportable que ce personnage badass de chef/rock star ?
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Prenez un concept télévisuel à succès (...) Mélangez avec un scénario au rabais (...) Saupoudrez le tout avec pas mal de bavardages, quelques pétages de plombs façon Cauchemar en cuisine et des gros plans hachés menu sur de belles assiettes. Vous obtiendrez un plat du jour parfaitement fade.
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Les enjeux sont si bas, c'est comme regarder pendant 100 minutes une limace essayant de ramper par-dessus une brindille.
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Mais cette rédemption d’un cuisinier désintoxiqué qui conquiert l’amour de sa saucière bien-aimée (Sienna Miller) reste malgré tout insipide.
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A moins que vous ayez envie d'une énorme pièce d'égo et d'une copieuse portion de cris, A Vif ! est un plat que l'on peut éviter.
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Un plat bête, déprimant et peu appétissant qui mériterait d'être balancé contre un mur ou au moins renvoyé en cuisine.
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Dommage que ce film, servi froid, se révèle assez fade de surcroît, car il possédait tous les ingrédients pour régaler les spectateurs.
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(...) un scénario d'une pauvreté et d'une facilité abyssales. C’est la foire aux clichés. De la fameuse guerre des chefs si chère à la téléréalité en passant pas les crises d’hystérie en cuisine sans oublier l’idylle entre le chef et sa jolie seconde.
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Pas grand-chose, sinon l’impression que les plats défilent comme ces plans de figurants qui feignent de s’extasier devant mille mets, sans que l’un d’entre eux, un cliché ou un personnage ne sorte du rang.
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Malgré son rebondissement, le scénario n’offre pas d’originalité et se noie dans les clichés, allant jusqu’à justifier toutes les misères infligées par Adam Jones à son personnel et à ses amis au nom de son prétendu génie.
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John Wells a fait appel au gratin de Hollywood, le film qu’il a concocté est bien fade, le scénario manque de sel et les personnages, caricaturaux, restent sur l’estomac.
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On a du mal à comprendre l'intérêt de ceTop Chef cinématographique où un Bradley Cooper capricieux et imbuvable cherche à attirer la sympathie pendant un temps relativement long.
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Bradley Cooper ne ménage pas ses efforts pour pimenter un peu la recette éprouvée du scénario de Steven Knight (...) Et la qualité de l’interprétation des seconds couteaux rend le film plus digeste et le sauve de l’étal des navets.