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Avec son jeune héros néonazi, "Heart of a Lion" ne suscite pas d’emblée la sympathie. Ça se gâte plus encore quand l’homme parvient à dissimuler son passé honteux à sa nouvelle conquête. Et l’on touche le fond quand il doit cohabiter avec le fils métis de cette dernière. Heureusement, la sitcom « Mon beau-père nazi et moi » ne dure pas et, après une pénible demi-heure, Karukoski se montre plus inspiré, notamment grâce à l’irruption d’éléments perturbateurs dans le « bunker du bonheur » : le père noir de l’enfant ou un frérot tout aussi facho que le héros.
Toutes les critiques de Heart of a Lion
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Acteur formidable, scénario tranchant avec un humour farouche dan le pathos, réalisation rageuse et forte lucidité politique... une bonne surprise made in Finlande.
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Magistralement interprété (Peter Franzén est complexe, tourmenté), le film cherche les racines de la haine et, faute de pouvoir les détruire toutes, à en arracher quelques-unes.