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Un cinquantenaire paumé et une pseudo-chanteuse dépressive (Caroline Ducey, naguère héroïne du Romance de Catherine Breillat) se rencontrent et se découvrent dans un hôtel de province. Filmé n’importe comment tel un mauvais porno avec une caméra DV sur pied, encombré de références à la Nouvelle Vague, totalement daté sur le fond comme sur la forme, Hôtel du Paradis est finalement plus inutile qu’embarrassant. Le temps que l’on s’habitue à l’univers du film, qui aurait pu être attachant, il est déjà trop tard.
Toutes les critiques de Hôtel du Paradis
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Hôtel du Paradis, enfin, ne manque pas, par ailleurs, d'une dose d'humour noir qui en complique les mécanismes et les enjeux. Enfin, l'épatante Caroline Ducey, incarnant une figure à la fois familière et tragique, illumine ce sombre récit.
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« Hôtel du Paradis » fait entendre une belle petite musique (de chambre) en décrivant avec retenue la vérité simple des gens et des émotions. Révélée par « Romance » (César du meilleur espoir), Caroline Ducey nous emporte dans ses bagages.