Toutes les critiques de L' Homme qui rêvait d'un enfant

Les critiques de Première

  1. Première
    par Félicien Cassan

    La cinéaste narre l’histoire d’un fermier taciturne qui adopte un gamin pour soulager son mutisme et sa mélancolie. Surprise, le môme est interprété par... Darry Cowl, dans son dernier rôle. Nostalgie et fantaisie sont censées entamer un séduisant pas de deux, mais le film, hélas, se prend les pieds dans le tapis.

  2. Première
    par Félicien Cassan

    Un fermier muet et taciturne parle uniquement à sa mère et aux enfants (sic). Il décide donc d’en adopter un pour se soigner. Mais l’enfant, c’est Darry Cowl dans son dernier rôle (re-sic). Cette fantaisie en sépia flirte constamment avec l’abscons. En voulant mêler nostalgie douce et folie pince-sans-rire, la réalisatrice Delphine Gleize (Carnages, 02) se prend les pieds dans le tapis. On en ressort hébété, à l’image d’Artus de Penguern tout au long du film.

Les critiques de la Presse

  1. Elle
    par Helena Villovitch

    Pas de scènes d'action. Pas de dialogues, ou presque. Pas d'effets spéciaux, cela va sans dire. Alors quoi? De la magie tout simplement. Et de l'amour, énormément d'amour.

  2. Paris Match
    par Alain Spira

    Ce film est un ornithorynque cinématographique : il ne ressemble à rien.

  3. Le Monde
    par Jacques Mandelbaum

    Un dialogue à la mime Marceau s'engage dès lors entre le père et le fils, dont on ne pénètre pas l'intérêt et dont on perd rapidement le fil. On aura compris que ce film est une fable et que son recours invétéré à la licence poétique lui est fatal.