L'homme qui répare les femmes: la colère d'Hippocrate-
À l’est de la République démocratique du Congo, au Kivu, le docteur Mukwege guérit les âmes en recousant les corps violés, vandalisés des petites filles et des femmes, premières victimes des conflits. Maladroit par la forme, ce documentaire qui se place entre le portrait d’un saint et la dénonciation des ignominies guerrières, est cependant essentiel.
Toutes les critiques de L'homme qui répare les femmes: la colère d'Hippocrate
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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(...) un bouleversant témoignage sur les viols de guerre.
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Le beau film que le cinéaste Thierry Michel et la journaliste Colette Braeckman ont consacré à Denis Mukwege vaut, notamment, pour sa lucidité.
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Le documentaire, qui ne laisse pas indemne tant il est passionnant, montre l’étendue du travail du militant.
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Les mots des intervenants sont plus forts que toutes les images du monde.
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Dans ce film sublimé par la photogénie du pays, la reporter du journal belge Le SoirColette Braeckman et l'indomptable « cauchemar » des autorités du Congo (1) , Thierry Michel, saisissent la métamorphose de Denis Mukwege.
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(...) le documentaire réussit à toucher, lorsque la voix de ces femmes et enfants violés résonnent, exprimant toute la violence subie (...)
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Un doc militant, qui met ces événements en perspective, en tous points remarquable, et porté par un élan vital qu’il est urgent de partager.
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Par glissements successifs, le documentaire replace ces violences dans le contexte du pays ces vingt dernières années et remonte aux origines de l’engagement progressif du médecin.
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Un doc édifiant, peuplé de scènes dures à supporter.
