Toutes les critiques de Neil Young: Heart Of Gold

Les critiques de Première

  1. Première
    par Gérard Delorme

    À la différence de Jim Jarmusch qui avait traité le côté sauvage de Neil Young dans Year of the Horse (99), Jonathan Demme a choisi de célébrer le registre paisible du compositeur canadien en le faisant jouer – au légendaire Ryman Auditorium de Nashville et accompagné de ses musiciens fidèles – la quasi-totalité de sa trilogie dite de «La prairie», commencée avec Harvest (72) et conclue avec Prairie Wind (05). Young profite de l’occasion historique pour rendre un hommage sincère à Hank Williams dont le fantôme hante le concert à chaque minute. Les connaisseurs apprécieront.