Toutes les critiques de Père Noël : origines

Les critiques de Première

  1. Première
    par Thomas Agnelli

    Comme Tomas Alfredson dans Morse, Helander dépeint le dysfonctionnement familial à travers le prisme du fantastique. Le concept (diaboliser Santa Claus) est plus excitant que le film, trop sage et moins pervers que les productions horrifiques de Joe Dante (Gremlins) et de Victor Salva (Jeepers Creepers). Mais il faut saluer le talent du réalisateur finlandais à faire cohabiter l’humour, l’onirisme, l’épique et l’angoisse dans une même séquence.

Les critiques de la Presse

  1. Mad Movies
    par Laurent Duroche

    Malgré un budget faiblard, Helander livre des images d'une beauté frappante (...) Comme quoi il est encore possible aujourd'hui de faire du fantastique ambitieux, généreux, populaire et référentiel sans avoir des millions en poche, et surtout sans perdre son âme (...)

  2. L’Ecran Fantastique
    par Maryline Sandra

    (...) Trop effrayant pour le jeune public, la métrage engendre parfois une certaine lassitude chez l'adulte dans la mesure ou l'horreur n'est pas assez développée, nous laissant donc quelque peu frustrés. Il n'en demeure pas moins que cette production indépendante, pas ses audaces et ses outrances, constitue un véritable bain de fraîcheur au sein du genre que nous défendons.

  3. A voir à lire
    par Sébastien Schreurs

    Une petite pépite humoristique en provenance de Finlande, alliant aventures et fantastique, qui démystifie le côté féerique et enchanteur qui a trait au Père Noël. Soit un conte de Noël dynamité à la sauce horrifique !

  4. Le JDD
    par Stéphanie Belpêche

    L'idée de revisiter le mythe sur le mode du fantastique avait de quoi allécher. Au final, il ne se passe pas grand-chose. Le Scandinave Jalmari Helander soigne sa photographie et son atmosphère au détriment du scénario. Le dénouement, subversif, apporte un peu de piment à ce conte initiatique.

  5. Le Monde
    par Jean-François Rauger

    Père Noël - Origines est une sorte de conte de fée déviant, une fable dont on ne sait pas vraiment si elle peut s'adresser aux enfants, un récit de Noël pervers (...). Et ce récit improbable sombre dans une imagerie burlesque et inquiétante, grotesque et comique, une imagerie qui fait planer l'ombre d'une sexualité trouble, tout en rappelant l'origine cruelle d'une légende

  6. Les Inrocks
    par Léo Soesanto

    Le pitch a en fait du mal à tenir la distance, la faute à une progrssion laborieuse ainsi qu'à un dosage maladroit entre mièvrerie (...) et acidité (...) .