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Tout y est, du "vert paradis des amours enfantines" aux préoccupations ad hoc, dans un style exhaustif pas toujours très inspiré. Mais la toile de fond fait la différence, et l'évocation de l'époque et du mouvement qui a posé les prémices d'un changement radical à l'Est s'impose et captive.
Toutes les critiques de All That I Love
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Ce film politique, sentimental et musical dépeint avec sensibilité et pertinence des adolescents et leurs parents pris dans la toile d’araignée d’un totalitarisme à bout de souffle.
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L’articulation souple et élégante des deux registres, le politique et la provoc punk, transcende la mélancolie et le ludisme du film. On aurait aimé que le désordre décuple, qu’on évite de retomber dans la chronique adolescente habituelle (…) Mais même comme ça, le film ne pèse pas.
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Ce film s'inscrit dans un nouveau courant du jeune cinéma polonais, déterminé à affronter l'histoire récente du pays. (…) Le ton du film est assez "nouvelle vague", son contenu résolument déterminé à rappeler qu'en 1981 certains furent contraints à l'exil, d'autres sympathisants de la révolte au point de risquer la prison.
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Toile de fond historique pour un film d'apprentissage aux personnages attachants et au rythme énergique.
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Ce récit initiatique, (…) est dominé par un jeune comédien de 24 ans : Mateusz Kosciukiewicz, que ses fans ont déjà surnommé le « James Dean polonais ». Même fougue, même belle gueule.
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Plongée au coeur de la contestation polonaise du début des années 80, All that I love est le troisième long-métrage de son auteur et le premier à sortir en France. A découvrir.
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Beau sujet, mais à l'écran c'est malheureusement une fiction consensuelle, avec des personnages archétypaux et interchangeables, situations prévisibles (...)