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Toujours plus de voitures cassées, de baies vitrées explosées, de buildings dynamités (...) A l'arrivée les héros ont tout de même quelques entailles au doigts et sur l'arête de nez. Ils ont fait très mal au méchants et à nos oreilles.
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par La rédaction de Public
Toutes les critiques de Die Hard : belle journée pour mourir
Les critiques de la Presse
Bruce Willis est de retour, et tend la main à le jeune génération, malgré les rhumatismes, McClane fait de la résistance !
Chaque fois que Bruce Willis reprend son rôle fétiche de « poor lonesome flic », c’est un événement. Las, l’humour est à la diète et le scénario a visiblement été confié à l’armurier comme dans une banale série B bodybuildée. Des cascades en overdose, des effets numériques grossiers, on se croirait dans un jeu vidéo. Game over ?
John Moore transforme Bruce Willis en héros de vidéo game fantomatique dans un blockbuster crépusculaire.
Hélas ce nouvelle opus se prend trop au sérieux pour se redorer une image ternie par le précédent volet. Le capital sympathie de Bruce Willis peine à compenser le manque de peps des scènes d'action et la faiblesse du scénario.
John McClane (Bruce Willis) vient au secours de son fils (Jai Courtney) mais ne parvient pas à sauver une série en proie à la sénilité.
A ce niveau, « Die Hard 5 » n’est plus représentatif de la série, ce dernier en date a été fait uniquement pour contenter les fans, amateur de bruits assourdissants et d’inepties.
Un film d’action explosif donc, mais où les invraisemblances sont tellement nombreuses que cela en devient souvent ridicule. Sans doute le plus faible épisode de la saga, même si les fans seront ravis de revoir Bruce Willis en policier ordinaire dans des situations extraordinaires.
Willis et Courtney forment une équipe intéressante, 2 membres de la même famille qui s’entendent comme chien et chat, des adversaires poussés à travailler ensemble par la force des choses.
Le flic bourrin du NYPD, John McClane, se rend à Moscou dans l'espoir de renouer avec son fils perdu de vue qui se révèle être un agent de la CIA. La rencontre, assez excitante, du film d'action viril des 90s et du thriller high-tech à la Jason Bourne.
Les spectateurs souhaitant leur dose d'adrénaline, d'explosions et de bons mots seront peut-être satisfaits du résultat, l'équipe créative n'ayant pas lésiné sur les moyens. "Die Hard : belle journée pour mourir" reste un divertissement ultra-balisé, au rythme frénétique, emportant tout sur son passage sans pour autant retrouver la fantaisie, le charme et la brutalité de la franchise.
Si les deux derniers opus ne sont pas au niveau de la trilogie originelle - la faute à trop d'effet spéciaux et à quelques invraisemblances -, retrouver le lieutenant McClane est toujours un plaisir.
Le réalisateur John Moore nous sert un cocktail à base d'explosions, de tirs et même parfois de rire. Malheureusement, ce cinquième volet à surtout pour effet de nous rendre nostalgique des premiers tant il s'en éloigne...
Un divertissement explosif dans lequel Bruce Willis assure malgré son âge.
Respectueux du cahier des charges, ce Die hard séduit mais n'étonne guère.
Fidèle à sa réputation de “cauchemar ambulant pour méchants”, le préretraité le plus fringant d’Hollywood Bruce Willis reprend du service sous la houlette du besogneux John Moore (Max Payne, Le Vol du Phoenix). Le résultat n’est ni visuellement, ni scénaristiquement des plus subtils, mais pour le moins efficace dans son genre.
Entre explosions à gogo, courses-poursuites en bagnoles démentes et cascades en hélico, Die Hard 5 fonce à 200 à l'heure, sans s'arrêter sur les invraisemblances et les énormités. Ca passe ? En tous, ça casse en force...
Un peu loufoque dans l’ensemble mais la présence de Bruce Willis donne un vrai dynamisme au film.
Pour apprécier Die Hard: belle journée pour mourir , on est prié de laisser son cerveau à l'entrée afin de se laisser aller à une sorte de plaisir régressif, un rien coupable: retrouver les joies du film d'action pur jus, sans 3D, à l'ancienne, estampillé 100 % divertissement.
Les précédents « Die Hard » manquent d’idées originales et pertinentes, c’est un fait, mais ce dernier manque de personnalité et ça, c’est impardonnable.
Die Hard 4, c’est Die Hard à côté. Et la confirmation que John Moore est le pire tâcheron en activité à Hollywood. Triste spectacle que de voir LA franchise du cinéma d’action massacrée de la sorte.
Depuis deux films, John McClane ne boit plus, s’occupe de ses enfants comme il faut et s’entretient dans une salle de gym comme le prouvent ses pectoraux. Pour couronner le tout, il s’est rasé la tête pour faire plus jeune, devenant un héros sans faille, bien conservé, certes, mais affreusement banal, incapable de faire oublier le matamore poissard et à demi chauve de ses débuts.
Chaque scène d’action est télégraphiée et la plupart des dialogues sont irrévocablement stupides.
Les retrouvailles sont filmées par John Moore (« Max Payne », « Le Vol du Phoenix », « En territoire ennemi »), gentil bourrin dont la main lourde plombe un script tout sauf léger. Après une course-poursuite sur le périph moscovite, une descente acrobatique d’échafaudage et un spectacle pyrotechnique à Tchernobyl, ce cinquième épisode ferait presque passer le quatre pour un chef d’œuvre. McClane avait pourtant déjà un pied dans la tombe. « Die Hard : une belle journée pour mourir » prouve que l’agonie est sans fin.
Cette série doit vraiment s’arrêter là. Enfin une vraie raison de se réjouir.
La saga « Die Hard » touche le fond : non seulement l’action est illisible, mais elle est constamment polluée par des effets de manche tous plus aberrants les uns que les autres. Idem pour l’insolence habituelle de McClane embourbée dans l’inconscient impérialiste du film. Pour preuve, la manière dont la Russie s’apparente à un immense terrain de jeu pour yankees sans gêne.
Bruce Willis retrouve le débardeur de son personnage-fétiche dans un cinquième volet qui met le paquet côté action : explosions, courses-poursuites et lance-roquettes. Mais, plombée par la faiblesse de son scénario, ponctué de répliques définitives, la franchise perd un peu de son âme : l'humour et le cynisme qui caractérisaient le héros ont disparu. Reste un divertissement efficace, mais volatil.
Autant le dire tout de suite : si les Die Hard n'ont jamais été des chefs-d'oeuvre de finesse, les trois premiers films étaient d'efficaces divertissements. Las, après un quatrième épisode pâlot (Die Hard : retour en enfer), ce cinquième opus endort le spectateur, faute des ingrédients-clés qui ont fait le succès des aventures de John McClane.
Plutôt ennuyeux, « Die Hard 5 » ne trouve pas vraiment sa place sur l’échelle de Richter du film d’action. On est assailli de bangs, de boums tout au long du film et puis plus rien.
Difficile d'accrocher à ce scénario aussi pauvre qu'inintéressant. Et c'est découragé par une réalisation peu disposée à sauver ce qui peut l'être qu'on se surprend à avoir de la peine pour ce pauvre McClane, perdu au milieu d'un film qui ne lui va pas. Un Die Hard de trop.
Si cet ultime ‘Die Hard’ aurait pu être un jubilé (qu’on attendait), ce n’est au final qu’une auto-parodie sans intérêt, dont les personnages, caricaturaux au possible, ne prennent pas. A cet égard, la relation entre McClane et son rejeton (Jai Courtney) franchit parfois les limites de l’invraisemblable. Bref, une agonie de pétards mouillés… Ou, comme dirait Woody Allen : « Prends l’oseille et tire-toi. »
« Die Hard 5 » se veut être un film sur les valeurs familiales : un père et un fils qui se serrent les coudes parmi les balles et les bombes mais il a avant tout, été fait pour le profit et là, c’est l’épisode de trop.
Détestable, exagérée et assommant.
En multipliant les emprunts à la grammaire des jeux vidéo, la franchise "Die Hard" oublie ses bases et son humour. Pas sûr que les fans apprécient...
On attendait impatiemment ce nouveau rendez- vous avec le légendaire flic new-yorkais. Las, ce cinquième opus est dune fainéantise scénaristique indigne. Succession de cascades convenues, cet épisode fastidieux semble même avoir lassé son interprète principal qui en a perdu sa verve et son humour. Sans parler de Jai Courtney, aussi charismatique quune crosse dautomatique ! La suite de « Piège de cristal » serait-il devenu un piège à spectateurs ?
Après un quatrième épisode en demi-teinte, Die Hard : Belle journée pour mourir, cinquième volet de la saga qui fit de Bruce Willis une icône du cinéma d’action, était attendu au tournant. Résultat : une grosse déception, à mi-chemin entre un (mauvais) film de Michael Bay et un thriller de série B...
Trop de pyrotechnie, pas assez de John McClane et ce qu'il faut de Jai Courtney.
Bruce Willis, 57 ans bien tassés, n’a plus la pêche de ses jeunes années. Finis, les pieds nus dans le verre pilé, finies, les courses échevelées à travers New York – il est temps de passer le relais à la génération suivante. On le comprend : tout cela fatigue un peu, autant l’homme lui-même que son public de la nouvelle génération, pour qui il n’est peut-être plus l’acteur culte des années 1980-1990. Sic transit... etc. Pour autant, on aurait aimé que le chant du cygne de John McClane ait un peu plus de lustre. On nous annonce déjà un Die Hard 6 – au vu du 5, pas sûr que ce soit une bonne nouvelle.
Pour tous ceux qui se rappellent des aventures excitantes de l’épopée « Die Hard », cette nouvelle expérience du 5ème volet va vous décevoir.
Le film sombre dans un déluge de douilles au milieu duquel Bruce Willis cachetonne. Il en a marre, Bruce, et ça se voit.