Sommaire de Première n°530 : Tom Cruise, Top Gun 2, Jeff Goldblum, Donnie Yen, David Cronenberg, Jessie Buckley...
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Première n°530 : Tom Cruise est en couverture pour Top Gun : Maverick
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Première n°530 : En couverture, Top Gun : Maverick
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Première n°530 : Interview de Michel Hazanavicius
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Première n°530 : Rencontre avec Jeff Goldblum
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Première n°530 : Focus sur La Maman et la Putain
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Première n°530 : Portrait de Jessie Buckley
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Première n°530 : Interview de David Cronenberg
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Première n°530 : Rencontre avec Donnie Yen
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Première n°530 : Tom Cruise est en couverture pour Top Gun : Maverick
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Première n°530 : Interview de David Cronenberg

Première n°530 : Rencontre avec Donnie Yen

Le numéro de juin 2022 arrive ce mercredi dans les kiosques.

Alors qu'il vient de créer l'événement à Cannes en recevant une Palme d'or d'honneur, Tom Cruise est en couverture de Première pour Top Gun : Maverick. Une suite réussie, mise en scène par Joseph Kosinski. On revient sur sa création dans un dossier spécial, qui poursuit notre sujet du Première Classics également en kiosques, dont le Top Gun original (Tony Scott, 1986) est en couverture.
D'autres oeuvres marquantes du 75e festival de Cannes sont également à l'honneur, comme Coupez !, le film d'ouverture déjanté de Michel Hazanavicius. Le réalisateur nous le présente au cours d'une longue interview, tout comme David Cronenberg, qui profite de la sortie des Crimes du futur pour revenir sur les films marquants de sa carrière. On dresse aussi le portrait de Jessie Buckley, l'héroïne fascinante de Men, le nouveau film d'Alex Garland (Ex_Machina) ayant été sélectionné à la Quinzaine des réalisateurs. Un focus sur La Maman et la putain complète ce programme spécial Croisette, puisque sa version restaurée a fait sensation à Cannes Classics.

En dehors des films et personnalités événements de la Croisette, Première vous propose aussi deux rencontres exceptionnelles : Jeff Goldblum et Donnie Yen ont accepté de revenir pour nous sur les réalisateurs et les moments clés de leur carrière. Le premier reviendra en juin dans Jurassic World : Le Monde d'après, et le second est à l'affiche d'un énorme succès chinois : Raging Fire.

Côté critiques, les films événement du mois, en plus de ceux cités ci-dessus, s'intitulent Frère et soeur, Don Juan, La chance sourit à Madame Nikuko, I'm Your Man ou El Buen Patron. En streaming, Première vous conseille Flee, Adrienne, Les Mondes parallèle et Loin du périph. Côté séries, on attire votre attention sur We Own This City (diffusée sur OCS) et Landscapers, à voir sur Canal+.

Quant au jeu du "film qui...", c'est Dali Benssalah qui s'y prête ce mois-ci.  L'acteur révélé dans le dernier James Bond revient dans un podcast, Batman Autopsie.

Bonne lecture ! 

Top Gun : Maverick est un blockbuster euphorisant malgré un fan service trop appuyé [critique]

Voici l'édito de ce 530e numéro :

Jamais trop to[p] !

Qu'est-ce qui peut bien expliquer l’incroyable rémanence de Top Gun aujourd’hui? Il y a bien les nappes électro de Giorgio Moroder, les filtres orange et les avions de chasse. Mais la vraie puissance du film est ailleurs.

TOm Cruise. Top Gun le place en orbite et impose définitivement son image de post-ado romantique. Pourtant, ce que met en scène le film, c’est que le « type le plus populaire du lycée » a une faille. Maverick oscille entre la perfection angélique et la veulerie sourde, et derrière le « All American Boy » se cache une incarnation de la médiocrité WASP triomphante…

TOny Scott. C’est grâce à lui si Top Gun n’est pas juste un clip reaganien. L’impression de débauche visuelle et sonore, les effets de montage hypercut, le rejet de la psychologie au profit de la sensation pure : c’est Scott. Et dans Top Gun, il a su faire hurler ses partis pris formels qui baliseront le reste de sa filmo.

TOp Gun. Le grand coup de génie du film, c’est son titre. Deux mots qui claquent, efficaces, fantasmatiques. Tellement, qu’ils ne furent jamais traduits (même par nos amis canadiens). Top Gun, au fond, c’est comme Die Hard, Miami Vice ou Terminator. Un sésame pop culturel immédiat. Trente-six ans plus tard, Tony Scott est excusé, mais Tom Cruise est là, ayant survécu à toutes les modes, à tous les genres. Et le titre n’a pas bougé. Ah si. Sans doute pour lui donner encore plus de puissance, on a juste ajouté le nom du personnage principal. Paré pour le décollage ?

Gaël Golhen, rédacteur en chef

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