Le dernier film que Nicole Kidman a soutenu à Cannes était le sulfureux Paperboy, de Lee Daniels. L'an dernier, elle était présente au sein du festival, mais pas pour un rôle : elle faisait partie du jury de Steven Spielberg. <strong>Son retour sur la Croisette</strong> pour défendre un long-métrage se fera dès demain avec Grace de Monaco, un film d'Olivier Dahan consacré à une partie de la vie de la star hollywoodienne devenue princesse, Grace Kelly.Difficile de faire plus opposé : de la "garce" Charlotte qu'elle incarnait face à John Cusack et Zac Efron, elle fera son come-back dans la peau de l'une des stars les plus glam' de l'histoire du cinéma. La projection de <em>Paperboy</em> avait fait couler beaucoup d'encre, en mai 2012. "En pin-up nympho qui pisse sur Zac Efron, porte des mini-jupes affolantes et passe la majeure partie du film jambes écartées, <strong>elle fut LE scandale cannois</strong>", écrivait-on à chaud. Exit la coloration blond platine, la robe ultra courte et vulgaire ou le maquillage à outrance. Exit aussi les scènes trash, comme cette fameuse séquence où elle simulait un acte sexuel pour exciter l'un de ses partenaires (ou celle évoquée ci-dessus).Cette année, la comédienne australienne ne sera pas là pour choquer ou casser son image, au contraire. Elle sera bien plus sage dans <em>Grace de Monaco</em>. Pour l'occasion, elle retrouve même son statut de beauté classique. Elle qui a si souvent été comparée aux actrices hitchcockiennes incarne ici une star qui a bel et bien été l'une des muses du Maître du Suspense.Si scandale il y a autour de ce film, ce ne sera certainement pas à cause de la performance de l'actrice. Pour le coup, si le long-métrage de Dahan est au coeur de polémiques, c'est à cause de son concept même (les héritiers de Grace ne veulent pas entendre parler de biopic) et de la mise en scène du réalisateur français, qui ne conviendrait pas à Harvey Weinstein, son distributeur américain.Voir aussi :<strong>Les tapis rouges cannois de Nicole Kidman et Grace de Monaco</strong><strong>Grace de Monaco : Thierry Frémaux défend le film d'Olivier Dahan</strong>
Le dernier film défendu par la star à Cannes...
Etait le sulfureux Paperboy en 2012
Cette année, elle revient avec un rôle aux antipodes de celui-ci
Elle retrouve pour l'occasion son look d'actrice hitchcockienne
Dans Grace de Monaco
Un film très sage en perspective ?
Réponse demain, puisque c'est Grace de Monaco qui ouvrira le 67ème festival de Cannes
Elle incarne Grace Kelly pour Olivier Dahan
Et antipathique
Où elle incarnait une pin-up vulgaire
Le dernier film que Nicole Kidman a soutenu à Cannes était le sulfureux Paperboy, de Lee Daniels. L'an dernier, elle était présente au sein du festival, mais pas pour un rôle : elle faisait partie du jury de Steven Spielberg. Son retour sur la Croisette pour défendre un long-métrage se fera dès demain avec Grace de Monaco, un film d'Olivier Dahan consacré à une partie de la vie de la star hollywoodienne devenue princesse, Grace Kelly.Difficile de faire plus opposé : de la "garce" Charlotte qu'elle incarnait face à John Cusack et Zac Efron, elle fera son come-back dans la peau de l'une des stars les plus glam' de l'histoire du cinéma. La projection de Paperboy avait fait couler beaucoup d'encre, en mai 2012. "En pin-up nympho qui pisse sur Zac Efron, porte des mini-jupes affolantes et passe la majeure partie du film jambes écartées, elle fut LE scandale cannois", écrivait-on à chaud. Exit la coloration blond platine, la robe ultra courte et vulgaire ou le maquillage à outrance. Exit aussi les scènes trash, comme cette fameuse séquence où elle simulait un acte sexuel pour exciter l'un de ses partenaires (ou celle évoquée ci-dessus).Cette année, la comédienne australienne ne sera pas là pour choquer ou casser son image, au contraire. Elle sera bien plus sage dans Grace de Monaco. Pour l'occasion, elle retrouve même son statut de beauté classique. Elle qui a si souvent été comparée aux actrices hitchcockiennes incarne ici une star qui a bel et bien été l'une des muses du Maître du Suspense.Si scandale il y a autour de ce film, ce ne sera certainement pas à cause de la performance de l'actrice. Pour le coup, si le long-métrage de Dahan est au coeur de polémiques, c'est à cause de son concept même (les héritiers de Grace ne veulent pas entendre parler de biopic) et de la mise en scène du réalisateur français, qui ne conviendrait pas à Harvey Weinstein, son distributeur américain.Voir aussi :Les tapis rouges cannois de Nicole Kidman et Grace de MonacoGrace de Monaco : Thierry Frémaux défend le film d'Olivier Dahan
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