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Marc Lavoine : "J'aurais dû m'appeler Brigitte"

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Marc Lavoine : "J'aurais du m'appeler Brigitte"

Marc Lavoine : "J'aurais du m'appeler Brigitte"

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Marc Lavoine : "J'aurais du m'appeler Brigitte"

Marc Lavoine : "J'aurais du m'appeler Brigitte"

Après le cinéma (Le Cœur des Hommes, L'Enfer, Sous les jupes des filles), et la chanson, Marc Lavoine fait son entrée dans un nouveau monde : la littérature.A l'occasion de la publication de son premier livre, L'Homme qui ment, son autobiographie basée sur le récit de son enfance, Marc Lavoine s'est livré au Journal du Dimanche et raconte en toute intimité sa sexualité, son enfance à Orly, son père communiste, ses idéaux et ses complexes."C'est une vision d'enfant de toutes les questions qu'on se pose sur le monde des adultes", explique-t-il au JDD avant de se replonger dans ses souvenirs des années 60.Comme un hommage à sa famille, Marc Lavoine reconnait avoir été très heureux dans ce quatuor familial entouré "de parents très différents" : Lucien, un "père exceptionnel" et une mère au "cœur gros".Les parents de l'acteur tiennent une place essentielle dans son roman autobiographie. Les idéaux communistes de son père y sont longuement décrits, ses infidélités aussi : "Communiste et charmeur, cégétiste et volage : tel était Lulu, mon père. Menteur aussi, un peu, beaucoup, passionnément, pour couvrir ses frasques, mais aussi pour rendre la vie plus belle et inattendue". Aussi, on apprend que Micheline Lavoine, sa mère, avait décidé qu'après son fils aîné Francis, elle attendrait une fille et qu'elle appellerait Brigitte : "J'aurais dû m’appeler Brigitte. Ma mère voulait une fille. Quand j’étais petit, je me présentais en baissant mon pantalon : je suis un garçon ! Plus tard, j’ai porté les cheveux longs et aimé Bowie, Polnareff" écrit-il reconnaissant que ce désir de maternité avait nourri, par la suite, de nombreux complexes : "Quand on est rejeté par les autres parce qu’ils vous traitent de "fille", deux pistes se présentent à soi. Soit on essaie de faire taire les ricaneurs, soit on entre dans une forme d’incantation imaginaire. On peut aussi choisir de faire de la gentillesse autour de soi. C’est le chemin que j’ai pris".Mais, en se replongeant dans son passé familial, c'est aussi une thérapie que Marc Lavoine opère à travers son récit : "Aujourd'hui à 52 il est important d’être là sans avoir de compte à rendre à ses vieux complexes. Ça va mieux" conclut-il au micro du JDD.Marc Lavoine : "A 52 ans, je n'ai plus de... par lejdd Plongez vous dans les souvenirs d'enfance de Marc Lavoine, dans L'Homme qui ment, paru aux éditions Fayard.Marc Lavoine, l'acteur, est, quant à lui, à l'affiche d'un téléfilm à succès de TF1L'Emprise dans lequel il interprète un procureur lors du procès d'une femme jugée pour avoir tuer son mari, un homme qui l'a battue et torturée pendant leurs dix-sept ans de mariage. Marc Lavoine partage l'affiche avec Odile Vuillemin et Fred Testot.MC