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Bavard par essence (même si, grâce à de nombreuses idées de mise en scène et à des flash-back sur la guerre, on ne s’ennuie pas), le scénario fait ressortir le vrai sujet du film : le constat amer de la dissolution de l’âme russe dans le bain infâme du libéralisme économique et de la démocratie. Le juré présenté comme le plus méprisable n’est-il pas ce producteur de télé qui rêve d’Hollywood ?
Toutes les critiques de 12
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Mikhalkov se réserve un long monologue final, mais son humanisme et son beau désir de justice emportent tout sur leur passage. Encore une fois, il nous émeut, encore une fois, je regrette que mon père ne s'appelle pas Nikita.
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Bien qu'un poil long, le huis clos à suspens et aux rebondissements malins captive jusqu'à la fin.
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Débats intéressants, mais pollués par une mise en scène parfois maniériste, des flash-back inutiles et un épilogue politiquement trop correct.
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Boursouflé et surjoué à vous donner la nausée, le film est le témoignage d’une vraie défaite du cinéma et de la parole comme vecteurs de la pensée et d’un certain altruisme.