-
Premier long-métrage de Christian Philibert "Les quatre saisons d'Espigoule" étaient un vrai-faux documentaire savoureux, à mi-chemin entre du Pagnol et "Striptease", auquel le bouche-à-oreille a fini par donner un statut de comédie culte. On en retrouve avec plaisir deux personnages pour ce voyage "avé l'assent" dans une Afrique joyeuse et bordélique.
-
La recette initiale des “4 saisons d'Espigoule” gagne en exotisme ce qu'elle a perdu en originalité.
-
Une petite pochade au pittoresque facile, traitée à la diable.
-
Rien, sinon le récit picaresque des vacances au Sénégal de deux gusses qui ont tant et tant à apprendre des autres. Quinze jours en brousse profonde, ça vous change un homme ! C'est sympathique, assurément. Quant à savoir si c'est du grand cinéma, vous l'aurez peut-être compris, c'est une toute autre histoire.
-
Le scénario est paresseux mais on retrouve par bribes la naïveté savoureuse du premier docu-fiction et la méthode de l’auteur : élire des acteurs non professionnels et laisser la place à l’improvisation.
-
Une chronique drôle, chaleureuse et fraternelle.
-
Du ciné bricoleur qui fait fondre l'ethnocentriste au soleil.
-
Quatorze ans après Les 4 Saisons d’Espigoule, revoilà Jean-Marc, le truculent patron de bar d’un village provençal imaginaire, qui, cette fois-ci, part en vacances au Sénégal avec son pote Momo. Le scénario, un peu paresseux (comme ses personnages), se contente d’aligner les scènes jouant sur les contrastes : Jean-Marc prépare l’aïoli au pilon, discute des vertus du phacochère, danse avec les Africains devant un match de l’OM, fait un safari... Christian Philibert n’a toujours pas son pareil pour saisir des instants de vie savoureux mais, ici, il oublie de raconter une histoire.
-
Christian Philibert parvient à entretenir le flou, laissant s'épanouir ses acteurs dans ce qu'ils ont de plus spontané.
-
De bonnes idées, des dialogues et des situations cocasses ne suffisent pas à faire un bon film. Dommage.