Toutes les critiques de Imogène McCarthery

Les critiques de la Presse

  1. Télé 7 jours
    par Viviane PESCHEUX

    Catherine Frot (...) mène tambour battant cette aventure loufoque et burlesque, où le scénario compte moins que le jeu des acteurs, tous excellents. Délectable.

  2. Le Parisien
    par Alain Grasset

    Cette parodie de film d’espionnage sans prétention, souvent loufoque, à l’humour « very british », se laisse regarder avec plaisir. Catherine Frot, qui ne cesse de surprendre à chaque rôle, n’y est sans doute pas pour rien.

  3. 20 Minutes
    par Caroline Vié

    L'adaptation ciné de cette ode à la bagarre et à la soûlographie signée Alexandre Charlot et Franck Magnier – transfuges des «Guignols de l'info» – se casse les dents sur le politiquement correct.
    Malgré l'abattage de l'excellente Catherine Frot, leur Imogène est molle du genou et les barbouzes pas vraiment convaincants. On est bien loin du délire décapant des 0SS117 vers lesquels cette comédie louche de façon persistante.

  4. A voir à lire
    par Frédéric Mignard

    Malheureusement le personnage récurrent de Charles Exbrayat ne trouve que peu d’éclat sous leur caméra de débutants. Interprété avec panache par Catherine Frot, toujours aussi malicieuse, il ne leur a inspiré qu’un petit téléfilm d’1h20, sans aucun développement scénaristique et surtout dépourvu de tout style. Ce n’est pas que la projection soit pénible, l’ensemble est toujours jovial et truculent, mais l’on est souvent embêté par les maladresses formelles et les raccourcis narratifs qui interdisent tout développement des personnages. Ces derniers sont et demeureront de pures caricatures d’un bout à l’autre. Certes, on est dans la parodie, celle loufoque centrée sur une Ecossaise xénophobe imbibée de whisky et de préjugés à l’égard de tout ce qui n’est pas 100% de sa contrée, qui devient du jour au lendemain espionne malgré elle au service de Sa majesté. Mais avec le potentiel explosif de la comédienne Catherine Frot, il est juste dommage que les auteurs se soient contentés d’aligner les vignettes animées et les sketches plus ou moins percutants (la scène d’ouverture durant le match Ecosse / Angleterre, à la limite de la méchanceté gratuite offre une mise en bouche savoureuse).