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Eli Roth compile les stéréotypes du film d’invasion domestique pour les retourner comme une chaussette. Ici, la victime est un père de famille respectable qui, alors qu’il est seul chez lui, reçoit la visite de deux jeunes filles en tee-shirts mouillés. Keanu Reeves, acteur de films d’action, est alors réduit à l’impuissance par un duo de prédatrices sexuelles ultraviolentes. Il y a beaucoup d’ironie et d’ambiguïté dans ce thriller amusant mais qui ne dévoile jamais son jeu, entre fable morale pseudo-féministe et dénonciation sarcastique d’une génération capable de ruiner une réputation en postant simplement une photo prise avec un téléphone portable.
Toutes les critiques de Knock knock
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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"Knock Knock" frappe là où ça fait mal : dans les couilles d’un père de famille déjà émasculé par sa femme (plasticienne aux créations massives et phalliques disposées partout dans la maison). Jouissif et bien ficelé.
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Dans son dernier tiers, "Knock Knock" vire au réjouissant jeu de massacre. Saccages, détournements obscènes et destruction littérale du décor d’un american way of life marqué par le narcissisme tout autant que par la culpabilité caractérisent une évolution du récit que le jeu de Keanu Reeves transforme parfois un peu trop en guignolade effrontée.
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Dans son dernier tiers, Knock Knock vire au réjouissant jeu de massacre. Saccages, détournements obscènes et destruction littérale du décor d’un american way of life marqué par le narcissisme tout autant que par la culpabilité caractérisent une évolution du récit que le jeu de Keanu Reeves transforme parfois un peu trop en guignolade effrontée.
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Knock Knock frappe là où ça fait mal : dans les couilles d’un père de famille déjà émasculé par sa femme (plasticienne aux créations massives et phalliques disposées partout dans la maison). Jouissif et bien ficelé.
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Un film très surprenant.
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Un film très surprenant.
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Son drôle de film cruel jonglant avec les codes du cinéma d’horreur sur fond de puritanisme a tout pour faire passer des frissons dans le dos…
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Sympathique mais brouillon, Knock Knock divertit sans prendre de véritables risques.
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Reeves, Eli Roth, ainsi que les deux jeunes actrices démentes, s’amusent beaucoup, sans faire de vagues dans un genre qui a vu meilleurs rebondissements (d’ailleurs, y en a-t-il un ?), mais la bonne humeur festive de cette domesticité devenue pure anarchie est communicative.
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C’est du fast-cinoche préfabriqué, à voir le samedi soir après une ‘tite bouffe entre copains, juste pour le fun. Car faut être juste : les deux salopes (Lorenza Izzo, Ana de Armas) sont craquantes.
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C’est du fast-cinoche préfabriqué, à voir le samedi soir après une ‘tite bouffe entre copains, juste pour le fun. Car faut être juste : les deux salopes (Lorenza Izzo, Ana de Armas) sont craquantes.
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Eli Roth signe une potacherie au sadisme racoleur. Un genre de "Funny Games" sauce barbecue.
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Hélas, faute d’une mise en scène jouant vraiment avec les réactions du spectateur, ce thriller ne nous fait pas trembler.
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Eli Roth signe une potacherie au sadisme racoleur. Un genre de Funny Games sauce barbecue.
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Hélas, faute d’une mise en scène jouant vraiment avec les réactions du spectateur, ce thriller ne nous fait pas trembler.
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Même si, une fois qu’il a brillamment posé ses enjeux, Eli Roth retrouve ses penchants sagouins (et sa terrible direction d’acteur), il réussit là un délectable jeu de massacre qui le replace sur la carte de l’horreur.
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Ce thriller à huis clos efficace et sans prétention, souvent drôle, à prendre au second degré, épingle l’hypocrisie qui règne dans une Amérique puritaine.
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Même si, une fois qu’il a brillamment posé ses enjeux, Eli Roth retrouve ses penchants sagouins (et sa terrible direction d’acteur), il réussit là un délectable jeu de massacre qui le replace sur la carte de l’horreur.
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Ce thriller à huis clos efficace et sans prétention, souvent drôle, à prendre au second degré, épingle l’hypocrisie qui règne dans une Amérique puritaine.
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Sympathique mais brouillon, Knock Knock divertit sans prendre de véritables risques.
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Gentiment médiocre, cette série B semi-transgressive, portée par un Keanu Reeves à contre-emploi, panache moments efficaces et péripéties grand-guignolesques. Idéal pour un samedi soir décérébré.
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Gentiment médiocre, cette série B semi-transgressive, portée par un Keanu Reeves à contre-emploi, panache moments efficaces et péripéties grand-guignolesques. Idéal pour un samedi soir décérébré.
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Reeves, Eli Roth, ainsi que les deux jeunes actrices démentes, s’amusent beaucoup, sans faire de vagues dans un genre qui a vu meilleurs rebondissements (d’ailleurs, y en a-t-il un ?), mais la bonne humeur festive de cette domesticité devenue pure anarchie est communicative.
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Une série B, vaguement sexe, vaguement sanglante, totalement ratée. Elle devrait faire peur, elle fait juste pleurer d'ennui.
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Une série B, vaguement sexe, vaguement sanglante, totalement ratée. Elle devrait faire peur, elle fait juste pleurer d'ennui.
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Son drôle de film cruel jonglant avec les codes du cinéma d’horreur sur fond de puritanisme a tout pour faire passer des frissons dans le dos…