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Surenchère de vociférations, gros plans sur les lézardes et les moisissures : cette comédie noire familiale datant de 2011 aurait dû rester inédite.
Toutes les critiques de L'Oeil du Cyclone
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Avec ce rôle de vieille dame très digne et manipulatrice, « L’oeil du cyclone » offre à Charlotte Rampling l’occasion de nous toucher une nouvelle fois par la qualité de son jeu. A ses côtés, Geoffrey Rush et Judy Davis interprètent ces deux adultes qui, comme tous les adultes, restent à jamais des enfants pour leur mère. On ne peut qu’admirer le jeu et la classe de ces grands acteurs anglo-saxons, une véritable leçon pour les Latins que nous sommes.
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Adaptation d’un roman de Patrick White, Prix Nobel de Littérature, ce film déploie dans une mise en scène raffinée toute la violence dont le langage est capable.
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Adaptant le roman éponyme de Patrick White, Fred Schepisi fait un film oppressant, au point de maintenir une impression de huis-clos même dans les scènes en extérieur, dans les paysages majestueux d'Australie.
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Adapté du roman de Patrick White, L’Œil du cyclone distille un parfum un peu suranné. On peut aimer les décors, la mise en scène victorienne. Mais l’intrigue s’étire en dépit de l’excellente interprétation de Charlotte Rampling, étonnante, et de dialogues plutôt fins.
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Ce drame vraiment féroce et diabolique est formidablement interprété, en particulier par une Charlotte Rampling étonnante.
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Les retrouvailles d'une famille qui hésite entre recoller les morceaux et régler ses comptes, tel est le thème du film de Fred Schepisi. Si tout n'est pas parfait dans le long-métrage, difficile d'échapper à la justesse de l'interprétation des acteurs.
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Malgré quelques dialogues bien sentis, cette petites famille antipathique finit par ennuyer ses domestiques comme les spectateurs.
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Fred Schepisi, cinéaste classique, n’était sans doute pas l’homme de la situation pour traduire les audaces narratives de Patrick White. Son adaptation ne tient que par l’interprétation dantesque de Charlotte Rampling.
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Si le style est trop ampoulé, cette histoire de famille, adaptée d’un roman de l’écrivain australien Patrick White (lauréat du prix Nobel de littérature), s’avère néanmoins d’une belle subtilité.
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Fred Schepisi, cinéaste classique, n’était sans doute pas l’homme de la situation pour traduire les audaces narratives de Patrick White. Son adaptation ne tient que par l’interprétation dantesque de Charlotte Rampling.
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D'après un Prix Nobel (Patrick White), un roman photo suranné et académique où toutes les stars font des apparitions glacées. Rampling s'en sort grâce aux flash-backs où elle resplendit...