-
Après l’apartheid, le deuil continue de hanter une communauté de Sud-Africains. L’indélébile violence s’incarne ici au travers de protagonistes qui manquent d’ampleur (comme Jérémie Renier, en roue libre). Choquart tente, comme son modèle Terrence Malick, de capter la puissance de la nature. Mais le sentiment de culpabilité généralisé, lui, ne parvient pas à capter le spectateur.
Toutes les critiques de Ladygrey
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
-
Une très belle leçon de philanthropie nous est contée. A ne pas manquer.
-
Avec la musique scandée, presque décalée de Peter von Poehl en guise de fil rouge, on va d'un personnage à l'autre : chacun devient une pièce d'un puzzle que le réalisateur ordonne avec art. Tout est précis dans sa mise en scène, chaque geste compte.
-
Alain Choquart dispose d’une distribution équilibrée dont la qualité d’interprétation s’appuie sur sa mise en scène, solide, poétique, elliptique.
-
Alain Choquart raffine un peu trop mise en scène et écriture, mais ses portraits amers trouvent dans leur pudeur un peu raide une beauté certaine.
-
Le scénario, trop lisse, semble souffrir des mêmes tares que sa mise en scène. De la souffrance des mères des victimes de l’école du township, le film ne présente que les contours, jamais la substance.
-
Un équilibre rompu et une réconciliation fragile, dans un premier film plutôt ambitieux et plutôt réussi sur l’homme et sa terrible condition.
-
Le résultat est paradoxal : on passe près de deux heures à attendre qu’il se passe quelque chose, alors même que des événements d’une certaine importance se produisent, faute d’un regard faisant la part des choses entre les enjeux de telle scène ou de tel parcours de personnage.
-
D’une louable ambition, le film d’Alain Choquart peine cependant à surmonter une symbolique pesante, grevée par une interprétation problématique
-
La réalisation manque d'âme, de vie et de souffle d'où une absence totale d'intensité.