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Hasards, coïncidences, récit construit en flashbacks et flashforwards… Des années 70 à nos jours, le très lelouchien nouveau Francesca Archibugi (Mignon est partie) raconte les amours et les emmerdes d’un Italien incapable de guérir d’un coup de foudre d’enfance jamais consommé. Mais la cinéaste échoue à traduire la fluidité de l’écriture de Sandro Veronesi et se perd dans un récit trop mécanique qui tire en longueurs, faute de créer l’attachement viscéral ambitionné à ses personnages.