Toutes les critiques de Les Contes de la nuit

Les critiques de Première

  1. Première
    par Christophe Narbonne

    Cinq ans après Azur et Asmar, merveilleux conte sur la tolérance qui mélangeait 3D et 2D, Michel Ocelot revient avec un nouveau projet atypique où il pousse encore plus loin l’expérimentation grand public. Il s’agit une nouvelle fois de théâtre d’ombres (comme dans Princes et Princesses), mais mis en relief, soit le mariage contre nature entre un univers tout à fait plat – celui des silhouettes découpées – et la profondeur de champ. L’effet qui en résulte peut être assimilé à celui que procure un livre pop-up, l’impression de volume en moins. On s’émerveille alors doublement de la prouesse technologique que cela représente et de la richesse visuelle proposée. Que l’action se passe à l’époque médiévale ou au temps des Aztèques, en Afrique ou au Tibet, Ocelot ne perd jamais de vue l’essence des contes qui consiste à transmettre des valeurs par le biais de paraboles simples. Les six histoires en question, bâties sur un schéma récurrent (un gars, une fille), défendent un idéal de générosité et d’intégrité, pourfendent le calcul et le mensonge, dénoncent les fanatismes et les dictatures. Ocelot ne prend surtout pas les enfants pour des imbéciles. Il ne leur facilite par la tâche, ne donne aucune explication de texte. Il sait pertinemment que le propre des contes est de stimuler l’intuition et d’inviter à la réflexion – mieux, à la parole.

  2. Première
    par Christophe Narbonne

    Cinq ans après Azur et Asmar, merveilleux conte sur la tolérance qui mélangeait 3D et 2D, Michel Ocelot revient avec un nouveau projet atypique où il pousse encore plus loin l’expérimentation grand public. Il s’agit une nouvelle fois de théâtre d’ombres (comme dans Princes et Princesses), mais mis en relief, soit le mariage contre nature entre un univers tout à fait plat – celui des silhouettes découpées – et la profondeur de champ. L’effet qui en résulte peut être assimilé à celui que procure un livre pop-up, l’impression de volume en moins. On s’émerveille alors doublement de la prouesse technologique que cela représente et de la richesse visuelle proposée. Que l’action se passe à l’époque médiévale ou au temps des Aztèques, en Afrique ou au Tibet, Ocelot ne perd jamais de vue l’essence des contes qui consiste à transmettre des valeurs par le biais de paraboles simples. Les six histoires en question, bâties sur un schéma récurrent (un gars, une fille), défendent un idéal de générosité et d’intégrité, pourfendent le calcul et le mensonge, dénoncent les fanatismes et les dictatures. Ocelot ne prend surtout pas les enfants pour des imbéciles. Il ne leur facilite par la tâche, ne donne aucune explication de texte. Il sait pertinemment que le propre des contes est de stimuler l’intuition et d’inviter à la réflexion – mieux, à la parole.

Les critiques de la Presse

  1. Le Figaro
    par Emmanuele Frois

    Ocelot ensorcelle une fois encore (...) Un feu d'artifice de couleurs, un pur concentré de beauté.

  2. par Eric Vernay

Dix ans après Princes et princesses, Michel Ocelot est de retour avec de nouvelles adaptations d'anciens contes, en silhouette. Après les images de synthèses 3D pour Azur et Asmar, l'auteur de Kirikou, toujours avide d'expérimentation, se met à la 3D relief : son petit théâtre d'ombres est une splendeur.

  • Le Figaro
    par Emmanuele Frois

    Ocelot ensorcelle une fois encore (...) Un feu d'artifice de couleurs, un pur concentré de beauté.

  • Fluctuat
    par Eric Vernay

    Dix ans après Princes et princesses, Michel Ocelot est de retour avec de nouvelles adaptations d'anciens contes, en silhouette. Après les images de synthèses 3D pour Azur et Asmar, l'auteur de Kirikou, toujours avide d'expérimentation, se met à la 3D relief : son petit théâtre d'ombres est une splendeur.

  • Les Cahiers du cinéma
    par Thierry Méranger

    Michel Ocelot fait du recueil de contes animés un florilège précieux dont il devrait être interdit de réserver la jouissance aux jeunes enfants et à leurs parents

  • A voir à lire
    par Frédéric Mignard

    Un nouveau grand film d’animation par le père de Kirikou, à peine miné par la structure à sketches du concept. L’utilisation de la 3D est tout simplement merveilleuse.

  • Les Cahiers du cinéma
    par Thierry Méranger

    Michel Ocelot fait du recueil de contes animés un florilège précieux dont il devrait être interdit de réserver la jouissance aux jeunes enfants et à leurs parents

  • A voir à lire
    par Frédéric Mignard

    Un nouveau grand film d’animation par le père de Kirikou, à peine miné par la structure à sketches du concept. L’utilisation de la 3D est tout simplement merveilleuse.

  • Le Parisien
    par Marie Sauvion

    Le merveilleux petit théâtre d’ombres de Michel Ocelot nous balade de la France au Tibet, en passant par l’Afrique ou l’Amérique du Sud. Somptueux.

  • Le Parisien
    par Marie Sauvion

    Le merveilleux petit théâtre d’ombres de Michel Ocelot nous balade de la France au Tibet, en passant par l’Afrique ou l’Amérique du Sud. Somptueux.

  • L'Express
    par Christophe Carrière

    A la pertinence des messages sous-jacents s'ajoute un graphisme somptueux, ombres découpées sur des décors flamboyants de couleurs. Du coup, pour une fois, la 3D relief apporte un indéniable plus. Ocelot ne cède pas à la mode, mais à l'esthétique de sa poésie.

  • L'Express
    par Christophe Carrière

    A la pertinence des messages sous-jacents s'ajoute un graphisme somptueux, ombres découpées sur des décors flamboyants de couleurs. Du coup, pour une fois, la 3D relief apporte un indéniable plus. Ocelot ne cède pas à la mode, mais à l'esthétique de sa poésie.

  • Télérama
    par Cécile Mury

    En six contes autour du monde, l’auteur de Kirikou crée un ensorcelant théâtre d’ombres chinoises. Un voyage humaniste magnifié par la 3D.

  • Télérama
    par Cécile Mury

    En six contes autour du monde, l’auteur de Kirikou crée un ensorcelant théâtre d’ombres chinoises. Un voyage humaniste magnifié par la 3D.

  • Les Inrocks
    par J.B. Morain

    La beauté des décors foisonnants, des enluminures d'Ocelot issues de l'imagerie traditionnelle des contes folkloriques, s'en trouve rehaussée.

  • Les Inrocks
    par J.B. Morain

    La beauté des décors foisonnants, des enluminures d'Ocelot issues de l'imagerie traditionnelle des contes folkloriques, s'en trouve rehaussée.

  • StudioCiné Live
    par Clément Sautet

    la succession des tableaux est un tantinet répétitive et a tendance à disperser l'intérêt. Cependant, Ocelot dote ses récits d’une belle démarche esthétique qui ne fait qu’ajouter de la valeur à ces Contes de la nuit.

  • StudioCiné Live
    par Clément Sautet

    la succession des tableaux est un tantinet répétitive et a tendance à disperser l'intérêt. Cependant, Ocelot dote ses récits d’une belle démarche esthétique qui ne fait qu’ajouter de la valeur à ces Contes de la nuit.

  • par Isabelle Regnier
  • Les Contes de la nuit nous baladent aux quatre coins de la culture mondiale. Jouant avec les accents de ses personnages, le style graphique, les musiques, Ocelot façonne un exotisme décoratif mais dépourvu de saveur

  • Le Monde
    par Isabelle Regnier

    Les Contes de la nuit nous baladent aux quatre coins de la culture mondiale. Jouant avec les accents de ses personnages, le style graphique, les musiques, Ocelot façonne un exotisme décoratif mais dépourvu de saveur

  • Nouvel Obs
    par Bernard Achour

    D’abord diffusés sur Canal+, puis gonflés en 3D avec l’adjonction d’un épisode inédit pour justifier leur passage au cinéma, ces six courts-métrages d’animation en ombres chinoises confirment le génie de plasticien et de coloriste de Michel Ocelot. Mais leur relative absence d’originalité, leur rythme parfois languissant et une propension marquée à la leçon de morale font regretter, malgré quelques beaux éclats, l’élan qui irriguait de bout en bout le sublime "Azur et Asmar".

  • Nouvel Obs
    par Bernard Achour

    D’abord diffusés sur Canal+, puis gonflés en 3D avec l’adjonction d’un épisode inédit pour justifier leur passage au cinéma, ces six courts-métrages d’animation en ombres chinoises confirment le génie de plasticien et de coloriste de Michel Ocelot. Mais leur relative absence d’originalité, leur rythme parfois languissant et une propension marquée à la leçon de morale font regretter, malgré quelques beaux éclats, l’élan qui irriguait de bout en bout le sublime "Azur et Asmar".