Les invisibles

Nés entre les deux guerres, ils sont âgés de plus de 70 ans et racontent leur vie amoureuse. Caressant tendrement les cheveux de l’être aimé, évoquant une passion dévorante pour quelqu’un de plus jeune ou révélant le choix d’une vie résolument hédoniste, ces hommes et ces femmes témoignent, avec une liberté extraordinaire, de leur homosexualité à une époque peu tolérante. Même si ces portraits émouvants et pleins d’entrain auraient gagné à être resserrés par moments, l’humanité qui s’en dégage
est un cadeau.

Ce film évite le piège du militantisme pavlovien et célèbre l'amour à travers la générosité de chauque témoignage.

Un merveilleux documentaire sur le plaisir de se découvrir et d’être soi-même tout en se situant dans les marges…

A l’heure où le mariage gay fait débat, ce documentaire vient rappeler par l’intermédiaire de témoignages bouleversants le calvaire vécu par les homosexuels durant les années d’après-guerre, à une époque où le silence était de rigueur.

Un point de vue passionnant mais dépassionné, dans un pays où le fait d'être sexuellement différent pouvait encore être considéré comme un délite en 1982... Eclairant.

C'est un petit chef-d'oeuvre de gaîté, loin d'un certain militantisme, une des plus belles réussites de ces invisibles qu'il faut aller voir.

Si vous êtes hétéro, ne vous laissez pas rebutez par le sujet à priori "de niche". Les Invisibles s'avère un documentaire réjouissant grâce à ses irrésistibles protagonistes, et universel dans sa description d'individus passionnés par la vie.

Filmés dans leur quotidien, ils témoignent avec une liberté, une truculence et une violence inversement proportionnelles à la chape de silence et de gêne qui entoura leur jeunesse. Une émouvante galerie de portraits d’hommes et de femmes qui n’eurent peur de rien ou presque et qui accèdent enfin à la lumière.

Un documentaire beau et bouleversant sur les parcours d'hommes et de femmes, tous nés dans l'Entre-deux-guerres et homosexuels. Bien que porté par un propos militant, "Les Invisibles" est avant tout un magnifique film sur l'amour.

Un documentaire passionnant qui recueille les témoignages d'hommes et de femmes et qui narre leur découverte de l'homosexualité à une époque où ils ne pouvaient pas sortir du placard.

Ces vieux homos, comme ils disent, ces “Invisibles” d’autrefois nous racontent comment ils ont traversé les époques dans une société qui les rejetait. Des portraits d’hommes et de femmes, certes déterminés par leur sexualité, mais amoureux avant tout : ces poignants “Invisibles” sont… à voir.

Epatant documentaire de cinéma qui croise les témoignages de sept hommes et quatre femmes qui ont lutté pour vivre leur homosexualité dans les années 50. Aujourd'hui, ils ont plus de 75 ans et ils sont drôles, émouvants, vifs et pimpants. Une vraie leçon de jeunesse et de liberté.

En plein débat sur le mariage pour tous, un beau récit documentaire de trajets de vie d’hommes et de femmes gays d’âge mûr. Salutaire et poignant.

(...) la justesse et la force du film de Sébastien Lifshitz : faire de cette poignée d’anonymes des héros, courageux, mais calmes, incroyablement attachants. Comme ce couple d’hommes septuagénaires, bras dessus bras dessous, sur le pont d’un bateau dans le Vieux-Port de Marseille. Ou ces deux dames grisonnantes, folles amoureuses dans leur ferme-refuge, où elles ont fui de Paris voilà quarante ans. Des personnages de romans.

Un documentaire beau et bouleversant sur les parcours d'hommes et de femmes, tous nés dans l'Entre-deux-guerres et homosexuels. Bien que porté par un propos militant, "Les Invisibles" est avant tout un magnifique film sur l'amour.

Dans ce documentaire de Sébastien Lifshitz, des homosexuels d'un certain âge racontent leur vie. Un beau moment de cinéma

Un doc brillant sur des résistants de l'amour gay. (...) L'un des grand film français de cette année.

Ces entretiens avec une dizaine d'homosexuels de plus de 70 ans, en couple ou non, sont cadrés et montés de manière à ménager une rencontre avec chacun, sans avoir l'impression qu'un témoignage chasse l'autre.

Les Invisibles, film paisible, parle de plaisir et d'amour, de la liberté d'être soi-même et de vieillir heureux. Les intervenants semblent avoir trouvé leur voie personnelle, au-delà du militan­tisme. Il n'est jamais question des enfants, qui sont l'enjeu de la prochaine bataille.