Toutes les critiques de Night Fare

Les critiques de Première

  1. Première
    par Eric Vernay

    Les dettes se paient tôt ou tard : c’est le leitmotiv simple mais efficace de ce compte à rebours contre la mort dans la nuit parisienne, cocktail improbable de Taxi Driver, de Duel et d’un film animé de samouraïs. On tutoie parfois le grand n’importe quoi, et alors ? Dynamique, la mise en scène assure le job, digne d’une roborative série B. 

Les critiques de la Presse

  1. Direct Matin
    par La rédaction de Direct Matin

    Julien Seri arrive à délivrer une fable contemporaine nerveuse et un rien gore quand elle s'inspire avec humour du genre slasher.

  2. Télérama
    par Pierre Murat

    Hélas, le réalisateur veut dépasser sa mignonne petite série B en lui injectant une bonne dose de fantastique mystico-mythologique, à la Jean-Christophe Grangé. Funeste erreur : la prétention l'emporte. Tout s'écroule.

  3. Metronews
    par Mehdi Omaïs

    Si la forme très graphique de son récit excuse en partie les nombreuses invraisemblances du script, sa conclusion pose de sérieux problèmes moraux, notamment après le déluge de violence qui l’a précédée. 

  4. Ecran Large
    par Christophe Foltzer

    Série B soignée et parfois jubilatoire, Night Fare mérite d'être apprécié pour ce qu'il est et le défi qu'il représente, en dépit de ses réelles imperfections ou de son fond très discutable.

  5. A voir à lire
    par Loris Hantzis

    Avec son ambiance lorgnant vers le fantastique, Night Fare se révèle être une belle surprise, faillible en de nombreux points mais totalement sincère.

  6. StudioCiné Live
    par Laurent Djian

    Julien Séri signe une série B hyperstylisée, qui lorgen vers Drive ou Collatéral. Mais sui se révèle très maladroite et bien trop confuse pour emballer. 

  7. Critikat.com
    par Soleil Håkansson

    De mise en scène il n’est ici question que d’esbroufe bling-bling négligeant toute idée, caméra au poing, au profit d’un montage éculé – parsemé de ralentis muets et autres flammes juxtaposées en fondu enchaîné – pressant inexorablement la pédale de références clipesques criantes de médiocrité.