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Conçu pour les plus jeunes, ce volet tient ses promesses grâce à la maîtrise des effets 3D. Le réalisateur Michael Apted tire le meilleur parti de jeunes comédiens. Dragon complice, serpent de mer féroce et charmant souriceau guerrier composent le bestiaire de cet opus. Le jeune public français sera, lui, toutefois peut-être un peu dérouté par le message mystique de la fin.
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Conçu pour les plus jeunes, ce volet tient ses promesses grâce à la maîtrise des effets 3D. Le réalisateur Michael Apted tire le meilleur parti de jeunes comédiens. Dragon complice, serpent de mer féroce et charmant souriceau guerrier composent le bestiaire de cet opus. Le jeune public français sera, lui, toutefois peut-être un peu dérouté par le message mystique de la fin.
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La saga a trouvé son rythme, aimable mélange d'humour naïf et de grand spectacle.
Mais attention : le voyage est réservé aux enfants. Des quatre héros des premiers films, il ne reste que Lucy et Edmund, encore assez jeunes pour faire la traversée. Ça tombe bien : on trouvait leurs aînés un peu fades. A la place, un nouveau venu plutôt rigolo, cousin râleur et grassouillet, se retrouve embarqué malgré lui dans l'odyssée, et accidentellement transformé en dragon. A Narnia, ce sont des choses qui arrivent.
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La saga a trouvé son rythme, aimable mélange d'humour naïf et de grand spectacle.
Mais attention : le voyage est réservé aux enfants. Des quatre héros des premiers films, il ne reste que Lucy et Edmund, encore assez jeunes pour faire la traversée. Ça tombe bien : on trouvait leurs aînés un peu fades. A la place, un nouveau venu plutôt rigolo, cousin râleur et grassouillet, se retrouve embarqué malgré lui dans l'odyssée, et accidentellement transformé en dragon. A Narnia, ce sont des choses qui arrivent.
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Une fois encore, le destin du royaume de Narnia repose sur les épaules et le courage des deux enfants, qui vont devoir affronter en chemin dragons, nains et sirènes… Malheureusement, ce scénario se retrouve vite à court de rebondissements, surtout dans sa première partie, et ce troisième « Narnia » se révèle au final décevant. Seuls les vrais fans de la saga pourront apprécier…
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Une fois encore, le destin du royaume de Narnia repose sur les épaules et le courage des deux enfants, qui vont devoir affronter en chemin dragons, nains et sirènes… Malheureusement, ce scénario se retrouve vite à court de rebondissements, surtout dans sa première partie, et ce troisième « Narnia » se révèle au final décevant. Seuls les vrais fans de la saga pourront apprécier…
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Ce n’est pas bon, mais les enfants adoreront !
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Ce n’est pas bon, mais les enfants adoreront !
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Dans ce troisième volet, Le Monde de Narnia revient à un univers plus coloré et heroic fantasy. Si les effets spéciaux et les décors sont léchés, on regrette que l’action manque de fantaisie et de rebondissements. Reste le dynamisme des jeunes acteurs : Georgie Henley campe une Lucy pleine de charme, et Will Poulter est un cousin Eustache insupportable et maladroit à plaisir.
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Dans ce troisième volet, Le Monde de Narnia revient à un univers plus coloré et heroic fantasy. Si les effets spéciaux et les décors sont léchés, on regrette que l’action manque de fantaisie et de rebondissements. Reste le dynamisme des jeunes acteurs : Georgie Henley campe une Lucy pleine de charme, et Will Poulter est un cousin Eustache insupportable et maladroit à plaisir.
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Cet épisode nautique mène les trois enfants et un équipage commandé par le beau prince Caspian (Ben Barnes, le plus insipide des jeunes premiers) d'île mystérieuse en île mystérieuse sans que l'on se pose d'autre question que celle qui fuse des sièges arrière d'une voiture un 1er août : quand est-ce qu'on arrive ? Quand on aura trouvé les sept épées qui libèreront Narnia d'une malédiction en forme de brouillard verdâtre.
Et n'enlevez pas vos lunettes sous prétexte que toutes ces tempêtes numériques vous donnent le mal de mer. On a payé le supplément pour un film en relief, alors on regarde un film en relief.
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Cet épisode nautique mène les trois enfants et un équipage commandé par le beau prince Caspian (Ben Barnes, le plus insipide des jeunes premiers) d'île mystérieuse en île mystérieuse sans que l'on se pose d'autre question que celle qui fuse des sièges arrière d'une voiture un 1er août : quand est-ce qu'on arrive ? Quand on aura trouvé les sept épées qui libèreront Narnia d'une malédiction en forme de brouillard verdâtre.
Et n'enlevez pas vos lunettes sous prétexte que toutes ces tempêtes numériques vous donnent le mal de mer. On a payé le supplément pour un film en relief, alors on regarde un film en relief.
Le Monde De Narnia - Chapitre 3 : L'Odyssée Du Passeur D'Aurore