Yuku et la fleur de l'Himalaya

Armée d’un ukulélé et de son don pour les énigmes, une petite souris va traverser des épreuves pour trouver une fleur magique. Le tout en soixante minutes d’animation visuellement adorables (le character design est un vrai bonheur, aidé par un casting vocal réjouissant), très rythmées mais narrativement hyper balisées avec sa succession de rencontres musicales (amis scénaristes, quand est-ce qu’on arrête de considérer le réac Joseph Campbell et sa théorie du « voyage du héros » comme une référence inévitable ?) parsemées de chansons plus ou moins réussies, Yuku et la fleur d’Himalaya s’achève toutefois sur une scène extrêmement triste bien que très attendue. Soyez donc prévenus si vous emmenez vos petits avec vous, et ne vous étonnez pas trop si vous versez quelques larmes ensemble.