Cannes 2019 en images : Xavier Dolan et Léa Seydoux pour un tapis rouge très glamour

Enfant prodige

Malgré sa jeunesse, Xavier Dolan a déjà ses quartiers sur la Croisette. Après une Queer Palm en 2012 pour Laurence Anyways, un Prix du jury pour Mommy (2015) et le Grand Prix pour Juste la fin du monde (2016), il revient au cinéma québécois avec Matthias & Maxime.

Xavier à la cool

Xavier Dolan, qui interprète lui-même le rôle de Maxime, s'est affiché en toute décontraction aux côtés de Gabreil D'Almeida Freitas (Matthias) et Catherine Brunet (Lisa). Sélectionné en compétition officielle et pour la Queer Palm, son nouveau long-métrage raconte le basculement amoureux d'une relation amicale entre deux hommes.

Leo à la défense des icebergs

Nostalgique de sa montée des marches d'hier pour Once Upon a Time...in Hollywood, Leo DiCaprio est retourné sur le tapis rouge au bras de la réalisatrice Leila Conners. L'acteur des Infiltrés et activiste écolo prête sa voix au documentaire Ice on Fire, dans lequel il liste les solutions pour endiguer le réchauffement climatique.

Memories of Roubaix

Léa Seydoux avait l'air très rêveuse au cours de la montée des marches de Roubaix : une lumière. La comédienne est la seule actrice à avoir reçu une Palme d'or (partagée avec Adèle Exarchopoulos et Abdellatif Kechiche) pour La Vie d'Adèle en 2013.

Under The Skin

Comme à son habitude, la mannequin canadienne Winnie Harlow a de nouveau coupé le souffle des festivaliers avec une robe aussi transparente qu'osée.

Roi et reine

Arnaud Desplechin s'est montré très complice avec Léa Seydoux lors de sa virée sur le red carpet. Le créateur de Paul Dédalus revient en compétition après avoir ouvert le festival en 2016 avec Les Fantômes d'Ismaël.

À la traine

Resplendissante dans sa robe rose bonbon, l'actrice et top modèle allemande Lorena Rae s'était déplacée pour découvrir le nouveau film d'Arnaud Desplechin.

Le réalisateur de Mommy et Laurence Anyways présentait son nouveau film Matthias et Maxime.

Cannes 2019 : Roubaix, une lumière vacillante [Critique]