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Jimmy Knoxville, grimé en vieillard décadent, prêt à toutes les provocations. Ses exactions filmées en caméra cachée donnent une espèce de Borat du troisième âge, tour à tour trash et hilarant, mais aussi parfois attendrissant, quand le film explore la relation entre le grand-père et son petit-fils. Certaines scènes semblent destinées à devenir cultes.
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L’Amérique profonde revisitée par les gags irrévérencieux d’un Johnny Knoxville plus fanfaron que réellement nocif, grimé en grand-père de très mauvaise influence. L’excès peut provoquer l’hilarité comme consterner.
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Entre film traditionnel et enfilade de sketch, Knoxville ne choisit jamais, condamnant cette suite de scénettes parfois très drôle à un statut terriblement anecdotique.
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Johnny Knoxville multiplie les gags dans ce road-movie où il retrouve son âme d’enfant.
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L'ancien trublion des Jackass parait bien pâle comparé à un Sacha Baron Cohen.
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Johnny Knoxville et sa bande tournent le dos au slapstick bourrin de @Jackass : une interminable succession de caméras cachées d'une rare inanité, au service d'un sommet de vaine vulgarité.
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Un grand-père sillonne les routes de l'Amérique avec son petit-fils. Production issue de l'émission de MTV, ce road-movie repousse sans cesse les limites du mauvais goût.
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par La rédaction de Critikat
Toutes les critiques de Jackass présente : Bad Grandpa
Les critiques de la Presse
Mais que peut-il rester de cet élan de folie dans Jackass Presents : Bad Grandpa à partir du moment où un scénario vient pour la première fois tenir la bride haute à la bêtise ? Quelques bons gags d’un mauvais goût cathartique qui n’avaient sûrement pas besoin d’une intrigue aussi artificielle que banale.
