-
Ode romantique épique, parsemée de clins d'oeil à la carrière de Yash Chopra, Jusqu'à mon dernier souffle s'affirme comme un vibrant testament. Le cinéaste y distille des messages forts de sens sur le libre arbitre ou encore les relations humaines. S'il s'adresse à la jeunesse, il interpelle aussi la nouvelle génération de cinéastes indiens et leur rappelle les bases d'un art animé par les émotions.
-
Notons enfin la piètre qualité de la bande musicale et des chorégraphies, gâchées par une mauvaise synthèse des influences indiennes et occidentales. Une amnésie rétrograde et une rédemption plus loin reste, entre Londres et le Cachemire, une fantasmagorie dont on devine qu'elle pourrait ne jamais s'arrêter, et dont on pressent qu'il ne faut chercher nulle part ailleurs le secret de sa réussite.
-
On aurait vraiment voulu l’aimer, mais mission impossible : il n’y a pas grand-chose auquel se raccrocher dans ce film proprement interminable, qui se révèle une terrible caricature de ce que Bollywood fait de pire aujourd’hui.