Toutes les critiques de La proposition

Les critiques de Première

  1. Première
    par Veronique Le Bris

    Le problème, c’est qu’à moins d’être un fan inconditionnel de Sandra Bullock, impossible de la supporter plus de cinq minutes avec ses gesticulations maladroites qui se veulent burlesques. La découverte, c’est le très beau et plutôt subtil Ryan Reynolds, un vrai Canadien, lui, et déjà marié... à Scarlett Johansson. Ce qui n’enlève rien à son talent.

Les critiques de la Presse

  1. StudioCiné Live
    par Sandra Benedetti

    L’un dans l’autre, façon de parler, tout se termine comme prévu. La surprise venant des répliques, joliment vachardes, et des seconds rôles, délicieusement givrés. Quant à Bullock et Reynolds, s’ils font des enfants, on veut bien les garder. Avec la grand-mère (impérativement).

  2. 20 Minutes
    par Caroline Vié

    La Proposition, comé­die romantique signée Anne Fletcher (27 robes, Sexy Dance), avec Sandra Bullock en tête d'affiche, a atteint les sommets du box-office américain cet été. Le secret d'un tel succès? Avoir su réunir tous les ingrédients d'une bonne «screwball comedy», fantaisie sentimentale où les protagonistes s'opposent violemment avant de tomber dans les bras l'un de l'autre. (...) Chaque acteur dose ici ses effets pour mettre l'autre en valeur. Leur énergie secoue le film de grands éclats de rire bienvenus en ces temps moroses.

  3. Elle
    par Helena Villovitch

    Encore une histoire de couple abracadabrante, de love story entre un gentil toutou et une chatte enragée. Heureusement, Sandra Bullock est là, déconnante et chic-issime à la fois !

  4. Le Monde
    par Isabelle Regnier

    Actrice principale et productrice du film, elle peut être considérée, plus que la réalisatrice, comme le véritable auteur du film. Des répliques qui claquent bien (...) Un bon rythme, une bonne mécanique de comédie : le genre n'est pas révolutionné, mais l'inversion du séquencier traditionnel, et des rôles sexuels, recèle de bons ressorts comiques, qui sont de surcroît bien exploités.

  5. A voir à lire
    par Frédéric Mignard

    Face à la générosité des comédiens, on évitera cette fois-ci de taquiner les convenances du script et ses faiblesses. A vrai dire, on est ravi de retrouver Miss Congeniality dans un rôle de femme autoritaire qui lui sied à merveille. Le duo qu’elle forme avec Ryan Reynolds est pétillant, malgré la différence d’âge ! L’actrice est drôle et rayonnante ; le film aussi. Bref, un succès mérité dans un genre cucul qu’on a connu souvent plus insipide.

  6. Télérama
    par Guillemette Odicino

    On ose le dire : aujourd'hui, l'actrice qui évoque le plus Katharine Hepburn est Sandra Bullock. (...) son sens du rythme, de l'intonation comique et surtout sa manière, plus masculine que féminine, de se jouer du ridicule évoquent vraiment la grande Katharine. (...) La réalisatrice Anne Fletcher maîtrise les codes de la comédie sentimentale de l'âge d'or, et l'affrontement de Sandra Bullock avec un aigle, en pyjama et armée d'un caniche, est un grand moment. Une scène que Katharine aurait adoré jouer...

  7. Le Figaro
    par La Rédaction du Figaro

    Une comédie romantique très sympathique, menée tambour battant par le duo dynamique Sandra Bullock - Ryan Reynolds.

  8. Télé 7 jours
    par Julien Barcilon

    A défaut de surprise, détente garantie avec ce pur divertissement qui aurait gagné à jouer davantage la carte de la férocité initiale plutôt que d'entonner une énième ode à la famille.

  9. L'Express
    par Julien Welter

    Pour garder son job, Andrew accepte un mariage en blanc avec sa patronne, qu'il déteste. Une comédie romantique sans grande surprise ni éclats de rire.

  10. Le Parisien
    par Marie Sauvion

    Dans cette comédie romantique typique, les scénaristes ont inversé les rôles Margaret a 45 ans et du pouvoir, Andrew, la trentaine et des espoirs. Mais on aurait bien voulu qu’ils se fatiguent davantage et nous aident un peu à croire à cet amour improbable. Tout comme on aurait apprécié que la réalisatrice mette plus de rythme. Et Sandra Bullock moins de grimaces !

  11. Les Inrocks
    par Jacky Goldberg

    Dépourvu d'ironie malgré ses intentions, La Proposition commence (bien) comme La Dame du vendredi d'Hawks, et se termine comme un vulgaire épisode de Santa Barbara - pas besoin de faire un dessin. ça ne tourne pas décidément pas rond dans la comédie sentimentale...