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Le cinéaste tambouille une cuisine racoleuse dans les vieux pots du nihilisme post-American Psycho. Scènes provocs, métaphores lourdingues et banalités sur la crise existentielle des jet-setteurs s'amoncellent avant d'êtres plombées par une morale douteuse. Dommage Jean-Paul Rouve avait l'air inquiétant.