Toutes les critiques de Gianni et les femmes

Les critiques de Première

  1. Première
    par Christophe Narbonne

    Si Gianni di Gregorio a la bonne idée de ne jamais faire conclure son héros, plus falot que macho, il a le tort d'inscrire son propos dans une veine "autofictionnelle" un peu molle plutôt que dans celle de la comédie féroce à l'italienne.

Les critiques de la Presse

  1. StudioCiné Live
    par Thomas Baurez

    Ce qui séduit immédiatement dans le cinéma de Di Gregorio est cette doucereuse apathie qui transpire du film, à commencer par sa mise en scène, juste parce qu'invisible.

  2. Le Parisien
    par Renaud Baronian

    (…) de la farce quasi burlesque, le cinéaste est passé à la comédie douce-amère teintée de social. (…) sous prétexte de vouloir nous faire bien rigoler, Gianni Di Gregorio signe une jolie réflexion sur le vieillissement masculin, et le regard — finalement très tendre — que peuvent bien porter les hommes al dente sur les femmes, voire sur eux-mêmes.

  3. Les Cahiers du cinéma
    par Vincent Malausa

    Si le récit épouse le rythme un peu flapi de son héros du troisième âge, il n'en reste pas moins fertile en gags blancs du plus bel effet (...)

  4. 20 Minutes
    par Caroline Vié

    Tenant le rôle principal de son film, Gianni Di Gregorio prend un plaisir évident à papillonner autour de charmantes créatures. Le Déjeuner Du 15 Août avait permis de découvrir ce personnage malmené par la gent féminine dont le charme porte une comédie à la saveur d'amaretto.

  5. Les Inrocks
    par Vincent Ostria

    Renaissance de la comédie à l'italienne avec un zeste de naturalisme et un soupçon de candeur.

  6. A voir à lire
    par Claude Rieffel

    Méditation, drôle et un brin mélancolique, sur la vieillesse et hommage aux femmes, le deuxième film de Gianni di Gregorio charme par sa liberté de ton et sa justesse.

  7. Le Figaro
    par Emmanuele Frois

    Gianni Di Gregorio est le héros, fragile, émouvant de cette comédie douce-amère baignée d'humour tendre et de mélancolie. On est bien loin du bunga bunga berlusconien. Totalement rafraîchissant dans le machisme et le sexisme ambiants.

  8. Le Monde
    par Jean-Luc Douin

    Gianni Di Gregorio pose un regard attendri sur la culture de son pays, sur ces vieux beaux qui refusent le passage du temps, ne se résignent pas à ne plus être regardés par les femmes, à être devenus transparents

  9. Paris Match
    par Alain Spira

    Une comédie italienne amusante, malgré quelques rhumatismes.

  10. Nouvel Obs
    par Guillaume Loison

    Gianni Di Gregorio, acteur-réalisateur senior découvert avec le rafraîchissant « Déjeuner du 15 août » en 2009, tisse une jolie comédie qui vaut moins par son tempo (à l’image de ce brave Gianni, particulièrement ramolli) que pour sa petite atmosphère où truculence à l’italienne et érotisme sous-jacent coexistent dans une belle harmonie.