Toutes les critiques de Vers l'autre rive

Les critiques de Première

  1. Première
    par Hendy Bicaise

    Après trois ans d’absence, Yusuke revient chez lui. Kiyoshi Kurosawa le filme comme s’il était un spectre de son terrifiant "Kaïro" (2001). Et pour cause Yusuke est mort. Son épouse, Mizuki, reçoit la nouvelle avec simplicité et l’accompagne même à la rencontre d’autres fantômes souhaitant rester auprès de leurs proches. Mais à mi-parcours, Kurosawa rebat les cartes, redoutant l’effet catalogue de son récit et la linéarité du road-movie. La route devient alors sinueuse, l’émotion s’infiltre jusque dans les intrigues parallèles et le cinéaste japonais ménage des pauses à teneur métaphysique. La marque d’un auteur en perpétuelle réinvention, ce que son prochain film, tourné en France, devrait confirmer

Les critiques de la Presse

  1. Les Inrocks
    par J.B. Morain

    Tout se passe dans le cadre, il suffit de regarder attentivement, la lumière, les reflets, la fixité, le mouvement, comparer les images et leurs variations. Kiyoshi Kurosawa fabrique son film comme un compositeur de musique classique. Merci à lui de nous rappeler que le cinéma peut aussi être un art.

  2. Libération
    par Didier Péron

    Kurosawa est constamment éblouissant dans sa manière de conjoindre des idées de mise en scène (...)

  3. Libération
    par Didier Péron

    Kurosawa est constamment éblouissant dans sa manière de conjoindre des idées de mise en scène (...)

  4. A voir à lire
    par Marianne Renaud

    Des scènes d’une poésie et d’une beauté incroyables jalonnent en outre le long-métrage, autant d’expressions de l’éphémère, de la disparition, mais aussi de la quiétude qui succède à la mort

  5. A voir à lire
    par Marianne Renaud

    Des scènes d’une poésie et d’une beauté incroyables jalonnent en outre le long-métrage, autant d’expressions de l’éphémère, de la disparition, mais aussi de la quiétude qui succède à la mort

  6. Critikat.com
    par Marie Gueden

    La mise en scène de l’apparition/disparition de Yusuke est superbe : la caméra de Kurosawa, comme la virtuosité des raccords du montage, suscite le trouble et l’étrangeté par ses cadrages, surcadrages, décadrages.

  7. Critikat.com
    par Marie Gueden

     La mise en scène de l’apparition/disparition de Yusuke est superbe : la caméra de Kurosawa, comme la virtuosité des raccords du montage, suscite le trouble et l’étrangeté par ses cadrages, surcadrages, décadrages.

  8. Le Monde
    par Mathieu Macheret

    (...) un film magnifique, admirable d’épure, sur l’irréductible idéalité du couple.

  9. Le Monde
    par Mathieu Macheret

    (...) un film magnifique, admirable d’épure, sur l’irréductible idéalité du couple.
     

  10. Le Parisien
    par Pierre Vavasseur

    Faire simple sur un sujet improbable, envelopper son propos de délicatesse, poser avec douceur la question du destin entre ces deux parenthèses qu'est l'existence : Kurosawa parvient à tout cela (...)

  11. Le Parisien
    par Pierre Vavasseur

    Faire simple sur un sujet improbable, envelopper son propos de délicatesse, poser avec douceur la question du destin entre ces deux parenthèses qu'est l'existence : Kurosawa parvient à tout cela (...)

  12. Le Monde
    par Jean-François Rauger

    Il semblerait bien que Kiyoshi Kurosawa soit parvenu à un lumineux et splendide dépassement de son art, à une sorte d’épure débarrassée de ce qui, de l’épouvante cinématographique nippone, résistait encore à sa singularité.

  13. 20 Minutes
    par Caroline Vié

    Sans rentrer dans aucune case, ce conte délicat émeut par sa façon d’évoquer le décès, le manque et le sentiment amoureux par le biais de diverses rencontres.

  14. Le JDD
    par Stéphanie Belpêche

    Une œuvre visuellement splendide, à la lumière travaillée, dont la délicatesse et l’onirisme font oublier quelques longueurs.

  15. 20 Minutes
    par Caroline Vié

    Sans rentrer dans aucune case, ce conte délicat émeut par sa façon d’évoquer le décès, le manque et le sentiment amoureux par le biais de diverses rencontres.

  16. Critikat.com
    par Arnaud Hée

    Ce n’est pas une grande nouvelle mais Kiyoshi Kurosawa est un grand metteur en scène, créant le trouble par de simples raccords, par la disposition des présences dans des espaces géométriques et souvent symétriques, un travail sur l’état des corps et des visages.

  17. Libération
    par Julien Gester

    Jamais les apparitions désignées comme spectrales dans ses films ne s’y étaient présentées sous un jour si calme et apaisé, et l’inquiétude consubstantielle à l’art du cinéaste n’était parue si gazeuse, impalpable évanescence en suspension, qu’en ce conte qui prend la forme d’une quête insoluble aux pas mesurés

  18. StudioCiné Live
    par Thierry Chèze

    Ce mélo poétique évolue sur un fil ténu entre réalisme et surnaturel avec cet art de faire surgir l'extraordinaire sans écraser l'ordinaire par une mise en scène subtile (...)

  19. Télérama
    par Louis Guichard

    (...) un grand film de maturité, où la familiarité ancienne du cinéaste avec les fantômes l'amène à une bouleversante réflexion existentielle.

  20. Paris Match
    par Yannick Vely

    La beauté du geste cinématographique tient de son évidence: un jour, Yusuke réapparait dans l'appartement familial et jamais sa présence n'est remise en question.

  21. Télérama
    par Louis Guichard

    (...) un grand film de maturité, où la familiarité ancienne du cinéaste avec les fantômes l'amène à une bouleversante réflexion existentielle.

  22. Paris Match
    par Yannick Vely

    La beauté du geste cinématographique tient de son évidence: un jour, Yusuke réapparait dans l'appartement familial et jamais sa présence n'est remise en question.

  23. StudioCiné Live
    par Thierry Chèze

    Ce mélo poétique évolue sur un fil ténu entre réalisme et surnaturel avec cet art de faire surgir l'extraordinaire sans écraser l'ordinaire par une mise en scène subtile (...) 

  24. CinémaTeaser
    par Aurélien Allin

    Les trois premiers quarts d’heure s’avèrent pourtant riches en émotions. L’étrangeté poétique emballe (...) Sauf qu’un certain systématisme s’installe et "Vers l'autre rive", dont la durée du récit est étirée artificiellement, devient trop mécanique, incapable de renouveler ses enjeux, qu’il répète inlassablement jusqu’à l’ennui épuisé du spectateur.

  25. Le Figaro
    par La Rédaction du Figaro

    (...) un mélo trop fantomatique pour émouvoir.

  26. Le Figaro
    par La Rédaction du Figaro

    (...) un mélo trop fantomatique pour émouvoir.

  27. Le JDD
    par Alexis Campion

    On finit par se lasser de ses deux protagonistes principaux, et par s’ennuyer ferme, perdu dans un cheminement alambiqué, au bout du compte un peu vain et lesté de décors et costumes gentiment passés de mode.