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Leeward est musicien, du genre à bricoler des compos avec des jouets. Lilas est vidéaste, fille d’une célèbre peintre, et cherche à se faire un prénom. Ensemble, ils vont trouver leur voie. Le film, lui, tâtonne encore. Ses ruptures de ton et sa fraîcheur, bien qu’appréciables, ne sauraient masquer l’incapacité des deux auteurs à égaler le degré de liberté et de créativité revendiquées par leurs propres personnages. Un regret qui n’empêche pas d’être épaté par Lola Bessis, co-scénariste, co-productrice, co-réalisatrice et actrice principale du film... à 21 ans seulement.
Toutes les critiques de Swim Little Fish Swim
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Ce petit film indépendant s’inscrit à merveille dans la mouvance des films de Julie Delpy et du Mumblecore en conservant une fraîcheur de ton revigorante. Une belle découverte.
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un très joli premier film, charmant et mélancolique.
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Plongez dans une chronique de jeunesse délicieusement rafraîchissante.
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Un film frais et entraînant. Du cinéma indépendant américain, comme une nouvelle vague contemporaine.
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Une attention toute particulière a été portée aux musiciens dans cette histoire. C'est un lieu de respiration du film, l'autre point fort avec cette réalisation bifide d'un couple, dans la vie comme derrière la caméra.
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Dans la lignée du cinéma indépendant américain, ce joli film au charme fou dépeint les aléas de la vie de jeunes artistes à Brooklyn.
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Une petite pépite que ce film à la fois charmant, drôle, touchant par moments et aux dialogues rafraîchissants.
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Plongez dans une chronique de jeunesse délicieusement rafraîchissante.
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La première réalisation du couple Ruben Amar et Lola Bessis s'enracine dans un New York arty des plasticiens et musiciens. Mais les maladresses d'écriture et de réalisation abondent.
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"Swim Little Fish Swim", réalisé à quatre mains par Lola Bessis et Ruben Amar, est un peu plus charpenté et consistant, mais peine à dépasser le carnet de croquis bon enfant.
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Délicieuse comédie très "indé" à l'humour rêveur, à la musique et aux couleurs pop, sur la difficulté de grandir et d'être artiste quand on a une mère trop célèbre ou une propension à préférer faire de la musique sur son canapé.
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Le résultat est la fois branché et naïf, sympathique et un brin narcissique.
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On sourit parfois aux maladresses de ce compositeur inadapté socialement et qui ne veut pas faire de concessions artistiques, mais il y a quelque chose d’exaspérant dans les malheurs de cette pauvre petite fille riche qui joue les artistes fauchés en robe dernier cri. N’est pas Woody Allen qui veut.
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La chose est d'une modernité niaise et vieillotte (...) Le seul sujet d'étonnement, dans ce spectacle décousu, c'est la présence d'Anne Consigny. Mais l'atmosphère et le coloris ont par instants une tonalité ingénue qui émousse l'agacement.